Un produit étant composé du rendement multiplié par le prix, si le premier semble acquis, que penser du second? Les nostalgiques de 2012 diront que les prix se sont effondrés, alors que les plus objectifs diront que pour le blé les cours sont sur un niveau acceptable, alors qu’en maïs ils sont beaucoup trop bas. Ainsi va la vie des matières premières agricoles, les années se suivent et ne se ressemblent pas.
Que penser alors de l’attitude de Bruxelles qui pourrait réclamer 1.8 milliards d’euros à la France pour trop perçus d’aides par la France depuis 2008? En cause un mauvais calcul de surfaces lié à un logiciel insuffisamment performant! Heureusement que cela est arrivé après les élections européennes, car sans quoi ce n’est pas une vague d’antieuropéens qui se serait invitée au parlement, mais peut être une majorité….
Alors messieurs les technocrates, je vous incite à faire appel à des sociétés de communication pour redorer votre blason et à remettre sur la table un certain bon sens.
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