Pour Karim Ganai, responsable marché de l’agriculture au Crédit mutuel de Bretagne, les candidats à l'installation pourraient a priori se détourner des banques agricoles pour financer leurs projets compte tenu de la faiblesse des taux d’intérêt. « Mais cela devrait être limité car les JA trouvent généralement auprès des banques "agricoles" une proximité géographique, des compétences et des offres particulièrement adaptées à leur métier. »
Les futurs agriculteurs ont en fait « toujours intérêt à acquérir le statut de JA. Ils vont bénéficier d’un encadrement, de conseils et d’informations de la part de professionnels et de l’administration, propices à la bonne constitution de leur projet d’installation ».
Pour lire l’intégralité de l’interview de Karim Ganai, cliquez-ici.