Alors que des soldats russes ont déjà débarqué en Crimée, quelles conséquences sur les marchés d’une extension du conflit? Bien difficile de répondre à cette question et d’être affirmatif. Dans le cas d’incertitudes géopolitiques, voire de risques de conflits, généralement les marchés de matières premières font office, comme l’or, de valeurs refuges. Dans une région comme la mer Noire, grande exportatrice, un conflit pourrait également contrarier les aspects de logistique, voire conduire à un embargo sur les importations en provenance de ces pays.
Parmi les matières premières les plus exposées, on peut citer le gaz, mais également le maïs en provenance de l’Ukraine.
Dans un climat où aux variations de températures viennent s’inviter les aléas politiques, il est prudent de sécuriser ses prix à travers les marchés d’options, et de ne pas vouloir s’inventer un nouveau métier, celui de chroniqueur politique.
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