« Il ne faut pas confondre toutes les colères. Là, il y a une production, des éleveurs qui sont, non pas en difficulté, mais pour certains d'entre eux au bord de la disparition (...) Si les agriculteurs viennent à disparaître, si les exploitations viennent à fermer, c'est tout le pays qui aura à en souffrir », a déclaré le président de la République en marge de sa visite du Salon de l'agriculture à Paris.
« Par ailleurs, il y a des réformes qu'il faut faire, des équilibres qu'il faut trouver, un dialogue qu'il faut engager (....) Mon rôle, c'est de trouver le bon équilibre, de faire avancer la France et de ne jamais être dans l'idée que le mieux à faire, c'est de ne rien faire », a-t-il insisté, sans citer le projet de loi El Khomri dénoncé par les syndicats et une partie de la gauche.