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Smag publie un « manifeste » pour un bon usage des données

Acteur du big data agricole, Smag, filiale d'Invivo, revendique la gestion des données de 12 millions d'hectares, soit environ un tiers de la SAU française. (©Watier Visuels)
Acteur du big data agricole, Smag, filiale d'Invivo, revendique la gestion des données de 12 millions d'hectares, soit environ un tiers de la SAU française. (©Watier Visuels)

Acteur du big data agricole, Smag, filiale d'Invivo, revendique la gestion des données de 12 millions d'hectares, soit environ un tiers de la SAU française.
Acteur du big data agricole, Smag, filiale d'Invivo, revendique la gestion des données de 12 millions d'hectares, soit environ un tiers de la SAU française. (©Watier Visuels)
 

Smag, filiale de l’union de coopératives InVivo spécialisée dans les systèmes d’information à destination du monde agricole, a publié mercredi 22 novembre 2017 un « manifeste » sur le big data agricole. « Nous souhaitons être au cœur de la réflexion sur la collecte et l’utilisation des données agricoles. Nous proposons ce manifeste pour casser quelques mythes autour de la donnée agricole », ont expliqué à la presse Stéphane Marcel et Didier Robert, respectivement directeur général et directeur adjoint de la société.

Parmi les sept points du « manifeste », les représentants de Smag rappellent notament que « la donnée agricole est une donnée d’entreprise ». « Elle relève du capital immatériel des exploitations et des entreprises dont les règles juridiques et économiques sont celles des données d’entreprises. » La donnée « n’a pas de valeur intrinsèque » : « La valeur pour l’agriculteur naît des capacités du big data et des modèles de visualisation, d’analyse et de prédiction qui s’y appliquent. »

Par ailleurs, face aux géants américains au premier rang desquels figure Google, le big data reste néanmoins en amont, une « bataille d’écosystèmes ». « Aucun acteur ne pourra construire et valoriser seul le big data agricole », explique Stéphane Marcel. « John Deere s’est rendu compte que son modèle trop fermé ne fonctionnerait pas en Europe. La marque a quelque peu ouvert son système. »

A l’horizon 2025, la société ambitionne de collecter – et exploiter – les données de la moitié de la SAU française. Mais pas que. « Les initiatives franco-françaises ne suffiront pas face aux géants. En tant qu’acteur du déploiement et de l’intégration de systèmes d’information, nous espérons, à terme, être dans le top 3 international. »

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