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Mais ces chiffres cachent d’importantes disparités selon les productions. Et malgré une conjoncture particulièrement difficile dans les secteurs d’élevage, les plus pessimistes ne sont pas forcément ceux que l’on croit. Les éleveurs (43 %) sont ainsi moins nombreux que les producteurs de grandes cultures (62 %) à être « plutôt moins confiant » pour l’avenir de leur exploitation.
Les céréaliers ne sont que 8 % à être davantage optimistes pour l’avenir de leur ferme, contre 24 % chez les éleveurs.