Contenu proposé par Bayer et conçu par Terre-net Factory

Produire mieux, protéger efficacement : le double défi de Rhapsody sur colza

Patrick Sauvaget
« L’arrivée du biocontrôle marque un nouveau tournant. Notre savoir-faire doit évoluer. » Patrick Sauvaget, agriculteur en région Nouvelle-Aquitaine. (©Bayer)

L’utilisation des produits de biocontrôle prend chaque jour plus de place dans le raisonnement de la protection des cultures. Parmi les agriculteurs qui n’utilisent pas encore de solutions naturelles, la quasi-totalité affirme pouvoir se laisser séduire à l’avenir et un sur cinq avec certitude. Interrogés, les agriculteurs y voient comme avantages l’alternative aux produits conventionnels, des pratiques plus respectueuses de l’environnement et la contribution à une meilleure image de leur métier.

Des milliers d’hectares de colza protégés

Une chose est sûre, la réglementation en matière de produits phytosanitaires se durcit. Les agriculteurs aspirent à en utiliser moins et loin d’être un effet de mode, c’est aussi une nécessité pour répondre à une attente bien réelle des consommateurs. Mais cette évolution doit se faire par paliers ; l’arrivée des produits de biocontrôle doit jouer un rôle clé dans ce changement de pratiques. Le biocontrôle a tout d’abord fait ses preuves sur les marchés spécialisés : arboriculture, vigne, maraîchage. Avec l’arrivée de Rhapsody®, autorisé sur colza, la donne change.

Des milliers d’hectares peuvent désormais rapidement être couverts. Près de 60 % des colzaïculteurs se disent intéressés par cette nouvelle approche. Le développement des solutions de biocontrôle s’affirme comme un élément central dans la stratégie de Bayer : « répondre à la fois aux attentes des agriculteurs et des consommateurs, pour produire de façon plus durable tout en protégeant l’environnement et la santé ». Pour atteindre cet objectif sur colza, Bayer innove avec Rhapsody®, qui, combiné à Propulse, permet de réduire la dose de fongicide tout en conservant un bon niveau d’efficacité.

https://www.dailymotion.com/video/x91uzc2

 « Depuis 35 ans que j’exerce le métier d’agriculteur les techniques de pulvérisation ont beaucoup évolué, témoigne Patrick Sauvaget, agriculteur en région Nouvelle-Aquitaine. L’arrivée du biocontrôle marque un nouveau tournant. Notre savoir-faire doit évoluer. Si je peux, à mon tour, m’initier à ces techniques de protection des cultures et transmettre mon expérience aux générations futures, j’en serais ravi. Le biocontrôle regroupe, par définition, des agents d’origine naturelle. Utiliser ces spécialités apporte une coloration plus "verte" à nos pratiques. C’est positif pour l’image de notre métier. » Pour Patrick Sauvaget, une question demeure : sera-t-il possible à terme de complètement se passer du chimique ? Car si les nouvelles spécialités doivent rendre l’agriculture plus durable, afin de répondre à une demande sociétale et environnementale de plus en plus précise, elles doivent également rester rentables économiquement. Le témoignage de Patrick Sauvaget est disponible ici dans son intégralité.

>> Retrouvez les réponses aux questions les plus fréquemment posées par les agriculteurs sur Rhapsody

Terre-net Factory
Cette communication co-brandée est rédigée par Terre-net Factory, un service indépendant de la rédaction de Terre-net, pour le compte d’une entreprise extérieure. Le sujet est proposé par le client et soumis à consultation de la rédaction en chef du titre, qui peut s’opposer à un projet allant à l’encontre de sa ligne éditoriale.

Réagir à cet article