L’Union européenne n’a pas défini un cap clair pour rendre la Pac plus juste et plus verte. Mais grâce à une subsidiarité plus grande et grâce aux outils disponibles, elle donne les moyens aux Etats qui le souhaitent, de rectifier le tir pour la rendre plus écologique. Pour la fondation Nicolas Hulot et « I field good », c’est une opportunité que la France doit saisir.
Si notre pays « choisit simultanément de refuser des équivalences aux mesures sur le verdissement, d’utiliser de manière optimale la majoration sur les premiers hectares, la dégressivité et un couplage effectif des aides sur les légumineuses, et de soutenir un budget maximal sur le second pilier, elle peut se donner les clés pour commencer à répondre à l’ambition agro-écologique qu’elle revendique », note la fondation dans un communiqué paru le 1er juillet dernier.
