« Empilages de contraintes environnementales et administratives, multiplication des freins à l’innovation et des restrictions d’utilisation de facteurs de production, partialité du dispositif national de mise en œuvre de la Pac, étroitesse du cadre règlementaire de la méthanisation, complaisance vis-à-vis des milieux écologistes, reculades en tous genres… : les exemples, malheureusement, dramatiquement, ne manquent pas », explique Orama dans un communiqué.
« Que de délais, d’incohérences, de lourdeurs, d’insuffisances, de dogmatisme et de partis pris qui, à la différence de nos concurrents, y compris au sein même de l’UE, obèrent la productivité et la compétitivité des exploitations françaises de grandes cultures.
Le gouvernement mesure-t-il qu’au-delà de ces exemples et de ces faits, c’est l’économie des exploitations de grandes cultures, de leurs filières et les investissements et emplois qu’elles génèrent qui sont en péril ? »