« On exporte un peu grâce à la parité monétaire qui nous aide, même si ce ne sont pas de gros volumes, mais cela permet de garder une petite tension sur les prix », a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés. De plus, « la France est bien placée sur l'appel d'offres égyptien », assure-t-il.
L'Egypte met en effet à profit le repli des cours du blé pour lancer un appel d'offres pour chargement 21/31 décembre. Mais « la compétition devrait rester rude notamment avec les origines russes », selon une note du cabinet Agritel.
Sur Euronext vers 14 h 30 (13 h 30 GMT), la tonne de blé gagnait 1,25 euro sur l'échéance de décembre à 177,25 euros et 50 centimes sur celle de mars à 184 euros. Plus de 19.300 lots avaient été échangés.
Le maïs était stable sur l'échéance de janvier à 167,50 euros et reculait de 25 centimes sur celle de mars à 172,50 euros. Plus de 750 lots avaient changé de main.