« Les marchés sont entrés dans la phase de trêve des confiseurs avec une activité sur le marché physique très réduite en l'absence de nombreux organismes stockeurs », commentait le cabinet Agritel dans une note.
Concernant le blé, selon Agritel, « les conditions climatiques vont demeurer au centre des préoccupations des traders avec des températures toujours très élevées pour la saison, engendrant sur l'hémisphère nord une avancée anormale des stades végétatifs des cultures d'hiver ».
Par ailleurs, « les cours du maïs demeurent pénalisés entre autres par la faiblesse des cours du pétrole mettant à mal la filière éthanol », ajoute le cabinet.
Sur Euronext vers 11 h 40 (10 h 40 GMT), la tonne de blé gagnait 25 centimes sur l'échéance de mars, à 174,25 euros, et 50 centimes sur celle de mai, à 179,75 euros. Près de 2.300 lots avaient été échangés.
Le maïs perdait 1,50 euro sur l'échéance de janvier, à 155,50 euros, mais gagnait 50 centimes sur celle de mars, à 166,50 euros. Moins de 200 lots avaient changé de main.
