Peu avant 15h30 (13h30 GMT), la tonne de blé regagnait 1,50 euro sur décembre à 160,50 euros et 1,25 euro sur mars à 165,75 euros, dans un volume d'échanges de 15.000 lots environ.
La baisse de l'euro bénéficiait notamment aux cours des céréales, qui retrouvaient un peu d'oxygène en termes de compétitivité à l'export.
Autre élément de soutien, la révision à la baisse des estimations de la production de blé en Australie par les autorités du pays, qui ont annoncé un repli de l'ordre de 10 % pour atteindre 21,64 millions de tonnes pour la campagne 2017/2018, souligne le cabinet Agritel.
La tonne de maïs, elle, était à l'équilibre, regagnant 25 centimes d'euro sur novembre à 157,50 euros et étant inchangée sur janvier à 161,75 euros, dans un volume d'échanges de quelque 270 lots. Le dernier état des conditions des cultures de l'USDA met en avant une situation inchangée en maïs où 61 % des surfaces sont estimées dans un état « bon à excellent ».