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L'enveloppe, qui pourrait atteindre jusqu'à 100 milliards d'euros, fait du pays, quatrième économie de la zone euro, le quatrième après l'Irlande, le Portugal et la Grèce à bénéficier d'un renflouement de l'Union monétaire. « Mais les inquiétudes pour l'économie mondiale ont repris le dessus », a-t-il souligné, pointant en particulier les inquiétudes pour la Grèce qui tient des élections cruciales ce week-end et l'Italie, dont la santé des banques rappelle la situation en Espagne.
De meilleurs rendements attendus pour le blé
Egalement, de nouvelles prévisions de pluies modérées dans le Midwest (centre des Etats-Unis) ont pesé sur les cours. Jusqu'à présent les prix avaient été portés par une météo sèche et chaude dans cette vaste région agricole. Enfin, les investisseurs s'attendaient à ce que le relevé des autorités agricoles américaines sur l'avancement des semis montre dans la soirée un recul de la qualité des plantations de maïs et de soja, a indiqué M. Nelson. Au contraire, des meilleurs rendements pour le blé étaient attendus.
De manière générale, le blé, qui a fini en hausse minime, a été tiraillé entre l'environnement macro-économique incertain et des spéculations sur le rapport de l'Usda devant être publié lundi. « La météo chaude et sèche est perçue comme critique pour le développement (du blé) ce qui a un impact haussier sur les cultures », a noté Commerzbank.
Le boisseau de maïs (environ 25 kg) pour livraison en juillet a fini lundi à 5,9200 dollars contre 5,9800 dollars vendredi à la clôture.
Le boisseau de blé à même échéance a clôturé à 6,3050 dollars contre 6,3025 dollars vendredi dernier.
Le contrat sur le boisseau de soja pour livraison en juillet a terminé à 14,2475 dollars contre 14,2625 dollars.
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