Météo France indique déjà que « la température annuelle moyennée sur le pays devrait être proche de 14 °C, dépassant la normale de près de + 1,5 °C. L’année 2020 devrait ainsi se classer au 1er ou 2e rang des années les plus chaudes que la France ait connu sur la période 1900-2020 rejoignant, sur le podium, 2018 (13,9 °C) et 2014 (13,8 °C). ».
??? Avec une #température moy. annuelle proche de 14°C, l'année #2020 , bien partie pour être l'année la plus chaude enregistrée, période 1900-2020, en France métropolitaine.
— Météo-France (@meteofrance) December 17, 2020
?2020 : 14°C
?2018 : 13.9°C
?2014 : 13,8 °C
??https://t.co/jfFlmQSqDF#climat2020 #climat #bilan2020 pic.twitter.com/e0qM8aqdlD
À noter aussi que les six années les plus chaudes enregistrées depuis 1900 se sont toutes produites depuis 2011, preuve en est du réchauffement climatique en cours.
?? 2020 bien partie pour être en tête des années les?chaudes depuis 1900.
— Météo-France (@meteofrance) December 18, 2020
Sur 1?2?0? années depuis que ces moyennes nationales sont relevées, les six années les plus chaudes ont été enregistrées depuis 2011.
?? Retour sur 2020 en 5 chiffres #thread ??#climat2020 #bilan2020 pic.twitter.com/VWmC3klWUB
Un déficit pluviométrique sur le quart nord-est
Si la pluviométrie devrait être proche de la normale en moyenne sur l'année et sur l'ensemble du pays, Météo France note qu'elle est très contrastée géographiquement : « excédentaire sur la façade atlantique et l’est des Pyrénées mais souvent déficitaire de 10 à 40 % sur la moitié est du pays ! ». Les mois les plus secs ayant été janvier, avril, juillet et novembre.
« Du printemps au début de l’automne, le déficit pluviométrique associé à des températures souvent élevées a contribué à un net assèchement des sols sur le quart nord-est », poursuit l'organisme de météorologie. Les régions Grand-Est, Bourgogne - Franche-Comté et Auvergne - Rhône-Alpes ont été les plus touchées, et cela pour la troisième année consécutive.
