Communication conçue et proposée par Publi-information TN

Pourquoi il faut absolument s’en préserver


Les feuilles constituent une véritable centrale à énergie pour la plante. C’est au sein de leurs cellules que sont fabriquées au cours de la photosynthèse, les différentes molécules nécessaires à la croissance des végétaux et à l’élaboration du rendement. Les éléments sont ensuite transférés vers les autres organes de la plante ; dans le cas des céréales, vers les racines, la tige et l’épi. Plus les feuilles sont développées, plus le potentiel de rendement sera élevé. Pour que les feuilles assurent leur rôle jusqu’à la fin du cycle de la plante, il est nécessaire qu’elles restent saines jusqu’au bout . Il est donc très important de veiller à ce que les champignons responsables des maladies foliaires, ne viennent pas perturber leur fonctionnement.

Préserver le potentiel de rendement

Les maladies foliaires peuvent être très préjudiciables au rendement. La plus fréquente sur blé, la septoriose, provoque des pertes de rendement qui peuvent aller jusqu’à 50 % . La nuisibilité de la rouille brune , par sa fréquence, peut monter jusqu’à 60 % . La rouille jaune est un peu moins fréquente, mais lorsqu’elle est présente comme en 2014 sur une large partie du territoire, ou en 2015, plus ponctuellement, les pertes de rendement peuvent grimper jusqu’à 70 % , avec des variétés très sensible !

Assurer une bonne protection du feuillage

Pour assurer une bonne protection des feuilles, il faut adapter le programme fongicide en fonction de la parcelle et de la pression maladies de l’année. Si le risque est fort en début de végétation, l’application d’un fongicide sur les feuilles basses des céréales pourra être nécessaire, pour contenir les maladies foliaires. Qu’un ou plusieurs traitements aient ou pas, été déjà réalisés, il faudra ensuite  intervenir au stade « dernière feuilles étalée » de la céréale, crucial pour protéger les deux dernières feuilles (F1 et F2), celles qui contribuent le plus au rendement. Des essais conduits en Grande-Bretagne par l’institut technique  HGCA, montrent qu’un traitement au stade « dernière feuille étalée », permet de protéger à 70 % l’avant-dernière feuille (F2) et à 90 % la dernière feuille, F1. Cette application constitue le pilier de la protection fongicide des céréales.

Utiliser les produits les plus performants : les spécialités à base de Xemium1

Puisque l’application au stade « dernière feuille étalée » est celle qui permet de préserver le rendement des céréales, il faudra réserver pour ce traitement, les produits les plus efficaces. Les plus performants d’entre eux, les produits à base de Xemium® et notamment Librax®,  sont plus efficaces que les autres produits à base de SDHI dans 80% des cas. Ils permettent de gagner 60 €/ha de plus que les spécialités à base d’une SDHI concurrente et 100€/ha de plus qu’une spécialité triazole + strobilurine**.  

www.xemium.fr

Avant toute utilisation, assurez-vous que celle-ci est indispensable. Privilégiez chaque fois que possible les méthodes alternatives et les produits présentant le risque le plus faible pour la santé humaine et animale et pour l’environnement, conformément aux principes de la protection intégrée, consultez http://agriculture.gouv.fr/ecophyto 

Produits pour les professionnels : utilisez les produits phytopharmaceutiques avec précaution. Avant toute utilisation, lisez l’étiquette et les informations concernant le produit.

Xemium1, nom d’usage de la substance active fluxapyroxad

Publi-information TN

Cette communication est gérée par la régie publicitaire du groupe NGPA. La rédaction de Terre-net n’a pas été consultée et n’a pas participé à sa réalisation.
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