Communication conçue et proposée par Yara

L’intérêt du fractionnement et de la modulation confirmé

Adapter l'apport d'azote aux besoins de la culture, tel est l'objectif des mesures en cours de végétation. (©Yara)
Adapter l'apport d'azote aux besoins de la culture, tel est l'objectif des mesures en cours de végétation. (©Yara)

Le fractionnement des apports a révolutionné les pratiques de fertilisation azotée il y a maintenant plus de 30 ans. L’idée première était d’adapter les fournitures aux besoins des cultures. Il est aujourd’hui admis que la pratique consistant à épandre l’azote en trois ou quatre apports profite à la plante non seulement en termes de rendement mais aussi du point de vue de la qualité de la récolte. De surcroît, le fractionnement réduit les reliquats post-récolte et limite le risque de lessivage.

En ce qui concerne la consommation d’azote, des essais menés sur blé ont montré que l’augmentation des doses fait monter régulièrement l’absorption d’azote et la teneur en protéines alors que les rendements plafonnent au-delà d’une certaine dose correspondant à l’optimum agronomique ce qui entraîne une hausse importante de la quantité d’azote résiduel dans le sol. Ainsi, il n’est pas judicieux d’augmenter les doses au-delà de certaines limites, pour des raisons à la fois économiques et environnementales. Quand la dose totale d’azote est limitée pour des contraintes environnementales, la seule stratégie valable pour augmenter la teneur en protéines, critère clé pour valoriser le blé, est d’améliorer l’efficacité de l’azote en privilégiant la forme la mieux adaptée (ammonitrates) ainsi que les bonnes pratiques (fractionnement, pilotage, etc.) afin que l’azote soit mieux assimilé.

Pilotage et agriculture de précision : une stratégie gagnante pour optimiser la fertilisation azotée

Le dernier apport d’azote revêt une importance capitale dans la quête de la qualité. Parce que la variabilité intra-parcellaire n’est plus à démontrer, la modulation des doses d’azote se révèle d’une grande utilité. Les outils N-Tester® et N-Sensor® permettent d’évaluer le niveau de nutrition des cultures et d’ajuster leurs besoins en tous points de la parcelle. Philippe Justine, agriculteur dans l’Aisne, a recours à ces technologies. « En évitant d’apporter trop d’azote à certains endroits, le blé ne verse plus. Or, c’était un problème régulier et pénalisant en termes de rendement et de qualité. » Thomas Seeger, agriculteur allemand, adapte les doses d’azote dès le deuxième apport, en les modulant selon les zones de plus ou moins 15 kgN/ha. Une synthèse Arvalis-Yara des résultats de 240 essais fait état, à dose d’azote équivalente, de l’amélioration de la teneur en protéines (0,3 %) et du rendement (1,2 q/ha) avec l’utilisation du N-Tester®.

Pour en savoir plus sur la fertilisation du blé, contactez les experts Yara pour échanger.

Yara

Cette communication est gérée par la régie publicitaire du groupe NGPA. La rédaction de Terre-net n’a pas été consultée et n’a pas participé à sa réalisation.

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