« Personne ne se satisfait d'une situation de tension comme celle qui a été vécue au Salon (de l'agriculture). Les agriculteurs eux-mêmes, quand ils réagissent comme ça, c'est qu'ils sont poussés à bout. (...) C'est bien au-delà de la colère, c'est un désarroi, une tristesse, une violence d'une crise qui est inouïe pour eux ».
« Le reproche que je fais à l'actuel gouvernement et au président de la République, c'est d'avoir perdu le poids politique que nous avions en Europe ». « Je prenais un rapport qui vient d'être publié à l'Assemblée (...) sur la présence de la France à Bruxelles, le ministre de l'agriculture est le plus mauvais élève des ministres français, il a séché 40 % des conseils des ministres sur l'année 2015. »