Parmi les nombreux visiteurs du Sima, il y a Alain Ducarouge.
Pour lui, le Sima est d’abord l’occasion d’échanger avec les organismes para-agricoles et les constructeurs. Cet agriculteur de l’Allier s’intéresse de près au machinisme et aux nouvelles technologies. Il est d’ailleurs équipé de matériel dernier cri.
« Je n’étais pas venu depuis quatre ans, et je suis toujours prêt à y participer même si je préfère Innov-Agri. Au Sima, le gigantisme est au rendez-vous ! », commente-t-il.
Jeert Vanaerde, quant à lui, vient des Flandres belges pour se renseigner sur les tubulaires pour son élevage.
Il se dit satisfait de l’offre présente au salon et pense avoir trouvé chaussure à son pied.
Cet éleveur est un inconditionnel du Sima : il s’y rend à chaque édition. « A chaque fois, je suis impressionné par le nombre d’exposants, la taille du matériel : nous n’avons pas l’équivalent en Belgique », explique-t-il.
Pour Bertrand Boddaert, c’est la première fois qu’il se rend au Sima.
Ce conseiller à la Chambre d’agriculture du Nord-Pas-de-Calais est venu dans un but bien précis : se renseigner sur le matériel pour travail du sol.
« J’ai vu beaucoup d’équipements adaptés au non labour. Je suis ravi que les constructeurs adoptent ces techniques afin de préserver le sol. Il y a également une large gamme d’outils de précision : c’est essentiel pour ajuster ses pratiques aux mesures agro-environnementales », précise-t-il.
Seul bémol pour lui, la plupart des produits exposés ne sont pas adaptés à l‘agriculture française.
Jean-Michel Elizondo accompagne son fils qui effectue ses études en maintenance de machines agricoles.
C’est la première fois qu’il se rend au Sima et cet opticien basque est impressionné par la taille des tracteurs : « Je découvre le machinisme agricole et je trouve cette exposition grandiose, il y a beaucoup de technique. D’ailleurs, on revient demain parce qu’on a encore beaucoup de choses à voir », annonce-t-il.
Cet agriculteur vient avant tout pour découvrir les innovations. « Les exposants sont toujours plus nombreux. C’est à chaque fois une continuité des éditions : les techniques ne cessent d'évoluer et c’est passionnant ! », s’enthousiasme-t-il.
