« De nombreuses annonces effectuées à l’issue du conseil des ministres du 28 juillet dernier restent à traduire en actes », explique l’AGPB dans un communiqué. « Au-delà de celles qui concernent les charges fiscales et sociales, ainsi que les conditions de mise en œuvre de certaines règles de la Pac », l’AGPB insiste sur « l’ampleur et l’urgence de l’action à entreprendre sur le plan bancaire » pour, notamment, financer la récolte 2017.
La branche céréalière de la FNSEA souhaite que l’octroi de prêts exceptionnels via le cautionnement à moindre frais de ces prêts par la BPI soit facilité au plus vite. « C’est indispensable au regard de la situation financière des nombreuses exploitations qui ont accumulé des revenus négatifs ces dernières années, notamment dans les régions à moindre potentiel. »
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