« Le marché marque une pause. Chicago a calmé le jeu sur sa session de nuit (précédant l'ouverture, ndlr). Mais la vague de froid aux États-Unis et l'instabilité en Ukraine restent de nature à soutenir les prix », commente Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés.
Sur la scène internationale, la Corée du sud a acheté 110.000 tonnes de blé fourrager dont l'origine n'a pas été précisée, tandis que la Jordanie n'a pas donné suite à son appel d'offres portant sur 100.000 tonnes, rapporte la cabinet Agritel dans une note.
Sur Euronext vers 14h40 (12h40 Gmt), la tonne de blé prenait 25 centimes sur l'échéance de janvier à 175 euros, et 50 centimes sur celle de mars à 177,50 euros. Près de 7.500 lots avaient été échangés. Le maïs gagnait lui un euro sur l'échéance de janvier à 152,25 euros, et 1,25 euro sur celle de mars à 155 euros. A peine un millier de lots avaient changé de main. Sur le marché physique, blé et orge restaient stables, tandis que le maïs prenait un euro.
