« La bonne compétitivité du blé européen et plus particulièrement français sur le marché international permet au marché de s'apprécier », analyse le cabinet Offre et Demande agricole (ODA).
En parallèle, la Tunisie cherche à acheter près de 135.000 tonnes de blé tendre, ainsi que du blé dur (utilisé pour les pâtes et la semoule) et de l'orge fourragère, selon plusieurs analystes.
Sur Euronext vers 13 h 15 (12 h 15 GMT), la tonne de blé gagnait un euro sur l'échéance de décembre à 177,50 euros, ainsi que sur celle de mars à 184,25 euros. Un peu plus de 7.000 lots avaient été échangés.
Le maïs gagnait 25 centimes sur les échéances de janvier et mars, atteignant respectivement 167,50 et 173 euros. Moins de 200 lots avaient changé de main.