Vers 14H30, le contrat de blé pour livraison en décembre était inchangé à 158,75 euros, tandis que l'échéance de mars bougeait à peine, en hausse de 25 centimes d'euro, à 163,50 euros, dans un volume d'échange modeste de 5 600 lots.
Cette atonie du marché s'expliquait notamment par la présence de « beaucoup d'opérateurs » au Salon international de l'élevage à Rennes (Space).
A noter que l'Egypte a lancé « un nouvel appel d'offre en blé, toujours dans un contexte où les offres de la part des exportateurs devraient être rares compte tenu des critères qualitatifs exigées », selon le cabinet Agritel.
En revanche, un analyste faisait état d'espoirs de débouchés vers l'Algérie, et d'une commande globale de 700 000 tonnes, mêlant blé américain et européen: « on espère une grande part européenne et une bonne part française ».
Le maïs, lui était légèrement orienté à la hausse, vers 14H30, le contrat de novembre gagnait 50 centimes d'euros à 160,50 euros, tout comme celui de janvier à 163 euros, mais dans un volume d'échange trop faible (172 lots échangés), pour que cette hausse soit significative.
Sur le marché physique, les prix étaient stables.