Vers 13H30 (11H30 GMT), le cours du blé gagnait 25 petits centimes sur l'échéance de décembre à 164 euros et était inchangé sur celle de mars, à 168,75 euros, dans un volume d'échanges modeste de quelque 6 300 lots échangés.
« Aujourd'hui (lundi), c'est une petite phase de consolidation, après de grosses séances jeudi, vendredi et surtout en attendant les Américains », confiait un analyste du cabinet Inter-Courtage. Après des rachats importants à la Bourse de Chicago, les intervenants sur Euronext, dépourvus d'éléments nouveaux susceptibles d'influer sur les cours, se demandaient comment allait redémarrer la place américaine.
« Sur la scène internationale, on note de nouveau des intérêts acheteurs, notamment de la part de l'Algérie qui aurait acheté la semaine dernière environ 500 000 tonnes de blé origine optionnelle » (c'est-à-dire dont l'origine sera déterminée ultérieurement), notait par ailleurs le cabinet Agritel, qui estime que des origines européennes feront « probablement » partie des chargements.
Le maïs, lui, était inchangé sur novembre, à 159,50 euros et regagnait 25 centimes d'euro sur janvier à 165,25 euros, dans un volume d'échanges de moins de 400 lots échangés.
