Peu avant 14h30 (13h30 GMT), la tonne de blé perdait 25 centimes d'euro sur mars à 165,50 euros et sur mai à 168,25 euros, dans un volume d'échanges très faible de 5.000 lots à peine.
« Les opérateurs attendent avec impatience la fin de la réunion de la Fed », commentait un analyste du cabinet Agritel, qui attendait une « probable hausse des taux, pas mal de volatilité sur la parité euro/dollar. »
Selon des chiffres révisés mercredi par FranceAgriMer, « en blé, la production passe désormais sous les 28 millions de tonnes contre 28,15 le mois dernier », souligne le cabinet Inter-Courtage.
En France, les semis d'hiver 2017 en blé augmenteraient de 0,2 % à 5,2 millions d'hectares, selon Agreste, l'organisme statistique du ministère de l'Agriculture, « un record depuis la Première Guerre mondiale » selon l'analyste.
La tonne de maïs était inchangée, tant sur janvier à 165 euros que sur mars à 166 euros, dans un volume d'échanges de 700 lots.