Vers 13 h (12 h GMT), la tonne de blé reculait de 25 centimes d'euro sur mars, à 166,75 euros et était inchangée sur mai, à 168,75 euros, dans un volume d'échanges assez modeste, tout juste au-dessus des 7.000 lots.
Après la baisse de lundi, consécutive notamment à la crise diplomatique entre les Etats-Unis et le Mexique, « on a perdu pas mal de vendeurs », commentait un analyste du cabinet Inter-Courtage, qui évoquait « une consolidation, une respiration de marché après la grosse claque d'hier ».
« La région de la mer Noire connait actuellement sa troisième vague de froid importante depuis le début de l'hiver », commentait pour sa part le cabinet Agritel, pour qui « chaque nouvel épisode de froid est étroitement surveillé par les producteurs », en raison des menaces qu'il est susceptible de faire peser sur les cultures d'hiver.
La tonne de maïs, elle, était inchangée sur Euronext pour mars, à 170 euros et perdait 25 petits centimes sur juin à 171 euros, dans un volume d'échanges de quelque 450 lots.
