Vers midi (10h GMT), la tonne de blé remontait de 25 centimes sur décembre à 167,25 euros et reculait d'autant sur mars à 171,75 euros, dans un volume d'échanges très faible de 2.300 lots à peine.
Le marché a été dopé toute la semaine par un rebond des prix en Russie sur le marché physique, ainsi que par une meilleure parité euro/dollar, redonnant de la compétitivité aux blés d'origine européenne, soulignait Alexandre Boy, chef des analystes chez Agritel. L'atonie du marché pourrait s'expliquer par l'attente d'un rapport trimestriel du ministère américain de l'agriculture (USDA), qui doit faire le point vendredi sur l'état des stocks et de la récolte de blé aux Etats-Unis.
La tonne de maïs, elle, reculait de 75 centimes d'euro, tant sur l'échéance rapprochée de novembre à 155,50 euros que sur celle de janvier à 160,75 euros, dans un volume d'échanges de 150 lots environ.
