« Il y a plusieurs choses qui jouent en faveur du colza, le prix des huiles, le fait qu'on n'ait pas d'énormes récoltes, et enfin, le fait qu'on compte sur des importations (de canola, colza OGM canadien, NDLR) qui devraient venir du Canada, sauf qu'au Canada, les prix sont déjà élevés », a résumé Gautier Le Molgat, analyste au cabinet Agritel, auprès de l'AFP.
La sécheresse historique qu'a connue le Canada cet été a eu un très fort impact sur la récolte des grandes cultures et notamment de canola, une des graines qu'on broie pour produire des huiles.
Peu avant 15h30 (13h30 GMT) sur Euronext, la tonne de colza progressait de 2,50 euros sur l'échéance de novembre à 566,50 euros, et de 1,50 euro sur l'échéance de février à 559,75 euros, pour environ 3 000 lots échangés.
