« La recherche variétale s’est surtout focalisée sur la qualité technologique offrant des variétés panifiables pour la meunerie », explique Jean-Paul Bordes, responsable du pôle R&D d'Arvalis-Institut du végétal.
Or si 18 % des blés sont valorisés en alimentation humaine, 15 %, soit presque autant, sont destinés à l’alimentation animale. Le retour à des variétés fourragères permettrait de mieux répondre au marché intérieur, mais aussi d’augmenter la productivité des surfaces cultivées en blé.
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