Communication conçue et proposée par LAT Nitrogen

Azote sur blé : pilotez pour optimiser !

Azote sur blé : pilotez pour optimiser !

Tenir compte des conditions de culture

Dans un certain nombre de régions, les parcelles ont reçu depuis deux campagnes des cumuls de pluviométrie important, impactant la structure du sol. Ceci peut avoir un impact direct sur l’enracinement de la culture et sa capacité à absorber efficacement les éléments nutritifs présents dans le sol, et en particulier l’azote.

Par ailleurs, difficile de tirer des conclusions nationales tant la météo peut varier d’une région à une autre mais la valorisation du 2ème apport d’azote réalisé en général courant mars peut être plus ou moins bonne. Sur la moitié nord de la France en particulier, les précipitations ont été très faibles sur la 2ème quinzaine de mars.

Quel est le meilleur moment ?     

Le stade optimal du dernier apport d’azote si situe autour de dernière feuille pointante (DFP)-dernière feuille étalée (DFE).

Cet apport a deux objectifs :

-  l’un est de poursuivre l’alimentation et la production de grains du blé

-  l’autre est d’augmenter la teneur en protéines des grains.

Ce dernier apport se révèle être particulièrement efficace car il intervient après la régression des talles inutiles. Le transfert d’azote vers les feuilles du haut, les épis, puis les épis puis le grain se faisant rapidement.

 

Quelle forme privilégier ?

La forme ammonitrate, comme MYPREMIAN® 33,5 N, est la forme la plus adaptée pour combiner rendement et teneur en protéine. C’est la forme la moins sensible à la volatilisation ammoniacale, qui garantit la meilleure efficience du dernier apport d’azote.

Enfin, attendez le retour annoncé de précipitations pour que cet apport soit valorisé au mieux !

 

LAT Nitrogen

Cette communication est gérée par la régie publicitaire du groupe NGPA. La rédaction de Terre-net n’a pas été consultée et n’a pas participé à sa réalisation.
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