Selon un sondage publié sur Terre-net du 6 au 13 juin, ayant obtenu 1 270 réponses, plus de 40 % des agriculteurs estiment que le manque de rentabilité est le premier facteur qui empêche d'aller plus loin en matière de diversification des assolements. Ensuite, dans des proportions proches, sont évoqués le défaut de débouchés et de matériel adapté.
Un autre sondage, publié du 2 au 9 mai, ayant obtenu près de 1 300 réponses, révèle que près de 42 % des agriculteurs consacrent déjà entre un quart et la moitié de leur surface aux cultures de printemps annuelles et 17 % plus de la moitié. Peut-être une autre raison pour ne pas aller plus loin dans la diversification alors que les espèces semées au printemps sont celles préconisées en priorité en la matière.