Selon un sondage sur le glyphosate, en ligne sur Terre-net du 26 septembre au 03 octobre, une disparition de la molécule n'est même pas envisageable pour près de la moitié des 1 520 répondants. Les autres tenteraient de pallier le manque par une évolution de leurs pratiques, au niveau agronomique pour 20,9 % et en recourant à d'autres matières actives herbicides pour 14,9 %.
15,4 % ne se sentent pas concernés car n'en utilisent déjà pas.