Vers 15 h (14 h GMT), la tonne de blé gagnait 50 centimes sur l'échéance de décembre, à 163,50 euros et 25 centimes sur l'échéance de mars à 168,25 euros, dans un volume d'échanges de quelque 13.500 lots.
« On a une parité de change euro/dollar qui nous aide », a commenté un analyste du cabinet Agritel, qui évoquait « une stabilisation qui s'ajuste un peu à la hausse, valable pour le blé et le maïs », alors que l'euro reculait légèrement mercredi face au dollar.
La tonne de maïs, elle, était inchangée pour janvier, à 163,50 euros et perdait 25 centimes pour mars, à 165,25 euros, dans un volume d'échanges anémique de 86 lots, en dépit d'un contexte plutôt favorable, alors que le plus gros compétiteur, l'Ukraine, pâtit toujours de problèmes de chargement. « En Ukraine, on enregistre une certaine tension sociale à l'approche de l'hiver, suite à une nouvelle probable dévaluation de la monnaie nationale, la grivna. Cela vient s'ajouter aux problèmes de logistique renchérissant les cours des commodities dans le pays », a noté le cabinet Agritel.