Peu avant 13 h (12 h GMT), la tonne de blé perdait 50 centimes d'euro sur mars à 167,50 euros et également sur mai à 169,75 euros, dans un volume d'échanges très faible, inférieur à 3.500 lots.
« Les transactions sont faibles, depuis le début de cette semaine, on se stabilise au-dessus d'une zone de support », commentait un analyste du cabinet Agritel, qui soulignait que la parité euro/dollar « est là pour donner un peu d'air, mais c'est quand même bien intégré » par les marchés.
« En Egypte, le GASC (autorité d'achat public du blé) est revenu à l'achat pour cette fin d'année afin de sécuriser les stocks du pays », soulignait le cabinet Inter-Courtage, qui faisait état de la vente de six bateaux de blé, dont trois russes, deux argentins, et un roumain.
La tonne de maïs, elle, reprenait 75 centimes d'euro sur janvier à 166,50 euros, et 1 euro sur mars à 168,50 euros, dans un volume d'échanges légèrement en dessous des 600 lots.
