Peu après 12h00 (11h00 GMT), la tonne de blé gagnait 50 centimes d'euros sur l'échéance de mars, à 167 euros, et sur celle de mai, à 169,75 euros, dans un volume de transactions restreint de 1.195 lots.
Le maïs, pour sa part, perdait 1,75 euro sur l'échéance de janvier à 166 euros et 75 centimes sur celle de mars à 168,50 euros, dans un volume d'échanges confidentiel de 187 lots.
Le marché de Chicago, en repli mercredi, était dominé par des ajustements de fin d'année de la part des fonds. Sur la scène internationale, l'Egypte fait l'actualité, avec le probable dernier appel d'offres de l'année en blé pour un embarquement début février. Les origines Mer Noire devraient être une nouvelle fois privilégiées, note Agritel dans une note. Agritel évoque aussi un déficit hydrique hivernal dans une grande partie de l'hémisphère nord, qui sera à surveiller au moment des semis, avec des réserves hydriques probablement faibles. Le cabinet s'inquiète également de la propagation de la grippe aviaire qui pourrait impacter la demande en céréales en cas de poursuite de son extension.