Peu avant 16h30 (15h30 GMT), la tonne de colza gagnait 1 euro sur février à 427,75 euros et autant sur mai à 420 euros, dans un volume d'échanges modeste de 8.000 lots.
« Les cours sont stables depuis cinq jours », commentait un analyste du cabinet Agritel, qui expliquait le prix élevé sur février par la très proche clôture de cette échéance.
De nombreux utilisateurs « se couvrent sur l'échéance rapprochée », expliquait cet analyste ou, autrement dit, ceux qui n'avaient pas acheté suffisamment de marchandises pour couvrir leurs besoins se rattrapent à la dernière minute, faisant grimper le cours sur cette échéance.
« Au Brésil, les conditions des cultures de sojas sont jugées excellentes par les opérateurs locaux », notait le cabinet Inter-Courtage, qui soulignait qu'au niveau national, « 2,2 % des surfaces ont été récoltées jusqu'à présent, contre 1,5 % l'an dernier » à la même époque.
Sur le marché physique, les tourteaux de colza progressaient légèrement sur les échéances lointaines.
