Peu avant 14h30 (12h30 GMT), la tonne de blé regagnait 2 euros sur décembre, à 161,50 euros, et 1,75 euro sur mars, à 166,75 euros, dans un volume d'échanges assez modeste de 10.000 lots environ.
Avant la révision très importante à la hausse de la production de blé russe, les marchés réagissent en premier lieu à la légère révision à la baisse des stocks mondiaux. « Il reste encore quelques risques agronomiques dans les pays de l'hémisphère sud, quelques doutes au Canada », ajoutait par ailleurs Damien Vercambre, du cabinet Inter-Courtage.
En France, l'organisme FranceAgriMer a légèrement révisé à la hausse la production de blé tendre, à 37,8 millions de tonnes, par rapport aux dernières statistiques du ministère de l'agriculture.
La tonne de maïs, elle, était tout juste à l'équilibre, regagnant 25 centimes d'euro sur novembre, à 156,75 euros, et étant inchangée sur janvier, à 161,75 euros, dans un volume d'échanges de plus de 450 lots.