Le maïs subit « la pression liée notamment aux importations d'origine est-européenne et à la récolte record qui se profile en Ukraine », attendue à plus de 32 millions de tonnes, selon le cabinet Agritel. « Autre facteur déprimant pour le marché, outre les mesures américaines sur le commerce mondial : la fièvre porcine qui s'étend un peu partout dans le monde et qui pourrait aboutir à une baisse de la demande (de céréales, NDLR) dans la filière élevage », ajoute Agritel.
À 12h00 (10h00 GMT) sur Euronext, la tonne de blé gagnait 0,50 euro sur l'échéance de décembre, à 200,25 euros, et 0,25 euro sur l'échéance de mars, à 203,25 euros. À la même heure, la tonne de maïs gagnait 0,50 euro sur l'échéance de novembre, à 166,50 euros, comme sur celle de janvier, à 171 euros.