Ce texte d'ores et déjà rejeté par les défenseur de l'environnement et la gauche vise à « lever les contraintes à l'exercice du métier d'agriculteur », et prévoit notamment de réintroduire en France des néonicotinoïdes autorisés ailleurs en Europe.
Le ministère des Relations avec le Parlement (MRP) avait envisagé il y a deux semaines d'avancer l'examen du texte la semaine du 28 avril, ce qui aurait conduit par un jeu de dominos à reculer d'une semaine l'examen des textes sur la fin de vie, aujourd'hui prévu les semaines des 12 et 19 mai.
Sondés par le MRP - même si rien ne l'y obligeait -, la majorité des présidents des groupes de l'Assemblée, y compris le MoDem Marc Fesneau, s'étaient dits opposés mardi dernier en conférence des présidents à cette accélération du calendrier, de même que les présidentes des commissions des Affaires économiques et du Développement durable.