Recourir aux interventions mécaniques, en complément ou en alternative à des traitements chimiques, devient un passage obligé pour réussir le désherbage des cultures, autant pour des raisons réglementaires que pour leur intérêt au niveau économique, agronomique, et bien sûr pour leur efficacité.
Ceux qui débutent, ou qui souhaitent déployer la technique à d’autres cultures, ou intervenir à d’autres périodes, se posent la question du choix du matériel et de sa place dans l’itinéraire technique. Trois principaux outils sont aujourd’hui disponibles sur le marché : la herse étrille, la houe rotative et la bineuse. Globalement, quand les deux premiers conviennent à un positionnement en préventif, du désherbage « à l’aveugle » jusqu’à un stade jeune de la culture, le dernier est davantage à utiliser en curatif. La suite du raisonnement tiendra compte de plusieurs paramètres : la culture en place, son stade et celui des adventices, le type de flore, la météo, la nature du sol…
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Au sommaire
Pourquoi désherber avec des outils mécaniques ?
- Des intérêts avant tout agronomiques
- Faire face aux évolutions réglementaires en matière d’environnement
- Un coût de chantier plus avantageux
Trois outils pour le désherbage mécanique
- La herse étrille
- La houe rotative, moins agressive que la herse étrille
- Davantage de marges de manœuvre avec la bineuse
Optimiser les interventions
- Choisir le bon outil
- Soigner les conditions d’intervention
- Raisonner le désherbage à l’échelle de la rotation
En conclusion
- Quel est le meilleur outil pour se lancer ?
- Témoignages
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Publication réalisée par La Factory de Terre-net et proposée par Phenix Agrosystem.