Échanges mondiaux

L'actualité des exportations et des importations de matières premières agricoles (céréales, oléagineux, protéagineux, huiles) et des intrants (engrais, produits phytosanitaires, semences) à l'échelle mondiale. Ces échanges de produits agricoles sont liés à l’offre des pays exportateurs et à la demande des pays importateurs, mais dépendent aussi de questions logistiques, géopolitiques ou encore monétaires.
La France sera prête à défendre « sans trembler » ses intérêts, en particulier agricoles et industriels, si la nouvelle administration Trump prenait des mesures jugées protectionnistes, a prévenu mard (...)

« UE-Mercosur », le traité mal-aimé de la France

Le projet de traité entre l'UE et le Mercosur date de 1999.
Un quart de siècle de gestation pour une adoption aux forceps... ou un enterrement ? A quelques jours d'un G20 et à quelques semaines d'une réunion des cinq pays du Mercosur que certains dirigeants vo (...)
La ministre française de l'agriculture s'est dite dimanche convaincue que l'accord de libre-échange négocié entre l'Union européenne et les pays du Mercosur, auquel s'oppose Paris, ne serait « pas sig (...)

Vers une bourse des céréales des Brics ?

Sous l'égide de la Russie, les neuf pays des Brics ont lancé fin octobre leur bourse des céréales.
Vladimir Poutine a annoncé la création d’un marché céréalier des Brics, qui pourrait renforcer le poids des pays membres de cette organisation sur le marché mondial et rivaliser avec les bourses d’Eur (...)
Proposition de résolution européenne, tribune, conférence de presse, tentative d'inscription d'un texte dans la niche LFI : les députés multiplient les initiatives pour encourager le gouvernement à s' (...)
L'arrivée de pluies bénéfiques pour les semis de blé en Russie détend le marché.
Le retour de la pluie dans les plaines russes comme en Amérique latine a entraîné une détente sur les prix mondiaux du blé, du maïs et du soja, dans un marché des matières premières agricoles assez vo (...)
La pression baissière a vite repris le dessus sur le marché du blé tendre.
Un jeu à sommes nulles : orientés à la hausse après un regain de tension en mer Noire et des ventes de fonds d'investissement, les prix des céréales ont ensuite reflué sur les marchés, face aux toujou (...)
D'après les dernières estimations de l'USDA, la production mondiale de blé est attendue à 798 millions de tonnes pour la campagne 2024/2025.
A quelques exceptions près, comme la mauvaise moisson de blé en France, la production mondiale de céréales et d'oléagineux s'annonce généreuse cette année, ce qui fait chuter leurs prix mondiaux et ou (...)
Les profits des maisons américaines de courtage Bunge et ADM ont chuté au premier semestre dans le sillage des cours des produits agricoles qu'ils négocient et transforment.
Une récolte abondante aux Etats-Unis, et moins mauvaise que craint initialement en Russie, font baisser les cours de la céréale.
Les prix du blé, du maïs et des oléagineux sont repartis à la baisse ces derniers jours, après un léger rebond mi-juillet, sous la pression d'une offre s'annonçant plus abondante que prévu dans le mon (...)
Les prix des denrées alimentaires dans le monde sont restés globalement inchangés en juin, la baisse des cours des céréales étant compensée par un regain sur les marchés des huiles végétales, du beurr (...)
Les prix du blé hésitants, en attendant les moissons
Les prix mondiaux du blé oscillent sur les marchés, en attendant les moissons qui débutent dans l'hémisphère Nord et apporteront une clarification sur la qualité et les volumes mondiaux disponibles po (...)
« Ce qu’il y a d’intéressant avec les céréales, c’est qu’elles sont emblématiques de la géopolitique de l’agriculture et de l’alimentation », note le chercheur Sébastien Abis.
De la domination russe aux défis climatiques en Méditerranée, en passant par la demande croissante et l’enjeu de décarbonation, le chercheur Sébastien Abis, qui dirige le récent ouvrage Géopolitique d (...)
Le bon démarrage de la récolte de blé dans le sud des Etats-Unis a pesé sur les cours.
Sous la pression d'un début de moisson prometteur aux Etats-Unis, les cours mondiaux du blé tendre ont poursuivi la chute libre entamée fin mai, mais pourraient assez vite se stabiliser sous l'effet d (...)
La France exporterait 10,2 Mt de blé tendre vers les pays tiers cette campagne, le volume le plus élevé depuis 2020/21.
Dans ses dernières prévisions, FranceAgriMer estime à la hausse le volume de blé tendre français exporté sur la campagne 2023/24. Quels seront les flux d’export dans les semaines et mois qui viennent  (...)

La Turquie stoppe ses importations de blé

La Turquie est le cinquième importateur mondial de blé. L'arrêt temporaire de ses importations se traduit par une baisse de la demande internationale, qui pèse sur les prix.
La Turquie a décidé de suspendre ses importations de blé  jusqu’à la mi-octobre, de façon à assurer à ses producteurs un marché stable. Cela devrait détourner une partie des exports russes vers d’autr (...)
La production ukrainienne de blé en 2024 risque d'être un peu en-deça de celle de 2023, mais devrait dépasser les 20 Mt.
Depuis plus de deux ans, la guerre bouleverse la production et les exportations céréalières de l’Ukraine. Pourtant, et même si la situation reste fragile, le pays semble relever le double défi agricol (...)
Ce mercredi 22 mai, le blé pour l'échéance de septembre sur Euronext était au plus haut depuis juillet 2023.
Manque d'eau en Russie et en Australie, trop de pluies en Europe : les courtiers des marchés agricoles ont les yeux rivés sur les prévisions météorologiques, plutôt défavorables aux récoltes en ce mom (...)
En 2024, le CIC prévoit une récolte européenne de colza à son plus bas niveau en trois ans.
Alors que la production et la consommation mondiales de colza s’annoncent très élevées sur la campagne 2024/25, le Conseil international des céréales s’attend à une hausse de 6 % des échanges, avec un (...)
La météo sera déterminante pour les cours des céréales dans les prochaines semaines.
Les prix du blé sont revenus à leur plus haut niveau depuis l'été 2023, attisés par une météo défavorable aux cultures d'hiver en Russie et aux semis chez d'autres grands producteurs, ainsi que par un (...)
Fin juillet 2023, l'Inde a annoncé qu'elle n'exporterait plus de riz blanc non basmati afin d'assurer sa sécurité alimentaire
« Coup de tonnerre » de l'embargo indien sur les exportations de riz, impact redouté du phénomène climatique El Niño sur les rizières : en dépit de risques forts, l'année 2023 a finalement échappé à u (...)
Le CIC livre ses prévisions pour la campagne de commercialisation de maïs 2024/25.
Le Conseil international des céréales s’attend à une réduction des échanges mondiaux de maïs sur la campagne de commercialisation 2024/25, bridés par de moindres besoins en UE et en Chine, grands impo (...)
Le rapport Wasde du ministère américain de l'Agriculture attendu vendredi donnera un premier aperçu des prévisions de stocks, de production et d'exportations pour la prochaine campagne (2024-25).
Des pics de hausse suivis de replis des cours : le retour de la volatilité sur le marché mondial des céréales est largement lié à des épisodes météorologiques adverses qui sèment le doute sur les rend (...)

La météo, grand arbitre des prix des céréales

Gautier Le Molgat d'Argus Media France souligne « l'écart conséquent » et « peu fréquent » des prix - plus de 20 euros - entre l'ancienne et la nouvelle récolte de blé, signe d'une réelle inquiétude pour les rendements en 2024-25.
Un coup de chaud en Russie, un temps sec au Kansas : les fluctuations des prix du blé et du maïs, qui ont brusquement grimpé avant de se stabiliser, sont essentiellement dictées par les prévisions mét (...)
La production 2024 de blé en Russie et en Ukraine sera déterminante dans l'évolution à venir du marché.
« L’équilibre du marché du blé tendre reste directement lié aux productions et aux exportations russes et ukrainiennes », souligne Argus Media France. Si côté russe la sécheresse a dégradé les potenti (...)
Le prix du haut est monté mardi à son plus haut depuis janvier, avant de baisser de nouveau.
Les cours du blé et du maïs, aiguillonnés par les inquiétudes liées à la vague de froid en Europe, une petite dégradation des cultures aux Etats-Unis et une attaque russe en Ukraine, ont enregistré un (...)
Les attaques houthies, à l'entrée de la mer Rouge, bouleversent le transport maritime de pétrole et de céréales
Les attaques houthies contre les navires marchands en mer Rouge perturbent le commerce maritime mondial, tandis que les marchés des énergies restent fébriles face à la situation tendue au Moyen-Orient (...)
Les prix des céréales européennes soutenus par la fermeté du dollar
Le renforcement du dollar a permis de maintenir les cours des céréales européennes ces derniers jours sans toutefois les galvaniser dans un marché restant dominé par l'abondance de blé et de maïs moin (...)
L'économie russe et son système financier restent relativement vulnérables, explique Julien Vercueil,  "avec une inflation élevée et un rouble faible"
Entre actions de la puissance publique et nouvelles alliances, comment l’économie russe s’est-elle adaptée à la situation de guerre et aux sanctions occidentales ?
Sur 2024/25, le Conseil international des céréales s'attend à une hausse de la production et de la consommation mondiales de blé, et à une baisse des échanges.
Production, consommation et échanges mondiaux de blé : le Conseil international des céréales livre ses prévisions pour la suite de la campagne de commercialisation 2023/24, et pour la campagne 2024/25 (...)
Depuis sa création, l'OMC ne parvient pas à faire avancer le multilatéralisme.
Si les accords bilatéraux se multiplient ces dernières années, souvent au grand dam des agriculteurs, ils témoignent surtout de l’échec du multilatéralisme prôné par l’Organisation mondiale du commerc (...)
L'UE a exporté en 2023 bien davantage de produits agroalimentaires qu'elle n'en a importés, engrangeant un excédent record dépassant 70 milliards d'euros, tandis que ses importations en provenance d'U (...)
La planète maïs se concentre autour de quatre grands pays producteurs et exportateurs : les États-Unis, le Brésil, l'Argentine et l'Ukraine
Dépendance de l’UE au maïs non-OGM ukrainien, poids de la Chine, relation entre le Mexique et les États-Unis, etc. : le chercheur Sébastien Abis explique à quel point la géopolitique influence le marc (...)
Contrairement aux Etats-Unis, les conditions de culture du blé d’hiver sont difficiles en Europe de l’Ouest, où « il pleut trop », et dans le sud de la Russie où « il fait sec », souligne Sébastien Poncelet, du cabinet Agritel-Groupe Argus Media.
Des prévisions de semis de blé et maïs en baisse aux Etats-Unis mais une offre mondiale toujours confortable : les cours des céréales tendaient mercredi à se stabiliser sur les marchés, tandis que les (...)
Incertitude sur le marché des céréales avant les semis de printemps
Le marché des céréales était hésitant mercredi en attendant des prévisions américaines sur les intentions de semis, les cours se tassant en Europe après une brusque remontée.
La destruction du pont Francis-Scott-Key de Baltimore par le porte-conteneur Dali bloque totalement et pour une durée indéterminée l'activité du neuvième port des Etats-unis, par lequel transite notamment du soja et du sucre.
Le port est-américain de Baltimore est bloqué dans les deux sens après l'effondrement d'un pont autoroutier. Cela ne devrait influencer qu'à la marge les échanges de produits agricoles.
Les Canadiens estiment que le marché européen est loin de se retrouver inondé de viandes canadiennes car très peu d'éleveurs ont décidé de se lancer vers l'export au-delà de l'Atlantique.
Dans les fermes canadiennes, on regarde d'un air circonspect la non-ratification par le Sénat français de l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada la semaine passée, car de ce c (...)
Le projet de ratification du Ceta, traité de libre-échange entre l'UE et le Canada appliqué provisoirement depuis 2017, ne sera pas transmis à l'Assemblée nationale avant les élections européennes, a (...)
15 % du commerce maritime mondial, 20 % du commerce céréalier mondial et un tiers du blé européen exporté dans le monde transitent par la mer Rouge
Les tensions en mer Rouge illustrent l’importance de la dimension maritime de la sécurité alimentaire. Explications avec le chercheur Sébastien Abis.
Après une envolée de leurs bénéfices avec la flambée des cours du blé, du maïs et des oléagineux en 2021 et 2022, les géants du négoce agricole ont atterri en douceur en 2023 et se préparent à un envi (...)
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