Échanges mondiaux

L'actualité des exportations et des importations de matières premières agricoles (céréales, oléagineux, protéagineux, huiles) et des intrants (engrais, produits phytosanitaires, semences) à l'échelle mondiale. Ces échanges de produits agricoles sont liés à l’offre des pays exportateurs et à la demande des pays importateurs, mais dépendent aussi de questions logistiques, géopolitiques ou encore monétaires.
La planète maïs se concentre autour de quatre grands pays producteurs et exportateurs : les États-Unis, le Brésil, l'Argentine et l'Ukraine
Dépendance de l’UE au maïs non-OGM ukrainien, poids de la Chine, relation entre le Mexique et les États-Unis, etc. : le chercheur Sébastien Abis explique à quel point la géopolitique influence le marc (...)
Contrairement aux Etats-Unis, les conditions de culture du blé d’hiver sont difficiles en Europe de l’Ouest, où « il pleut trop », et dans le sud de la Russie où « il fait sec », souligne Sébastien Poncelet, du cabinet Agritel-Groupe Argus Media.
Des prévisions de semis de blé et maïs en baisse aux Etats-Unis mais une offre mondiale toujours confortable : les cours des céréales tendaient mercredi à se stabiliser sur les marchés, tandis que les (...)
Incertitude sur le marché des céréales avant les semis de printemps
Le marché des céréales était hésitant mercredi en attendant des prévisions américaines sur les intentions de semis, les cours se tassant en Europe après une brusque remontée.
La destruction du pont Francis-Scott-Key de Baltimore par le porte-conteneur Dali bloque totalement et pour une durée indéterminée l'activité du neuvième port des Etats-unis, par lequel transite notamment du soja et du sucre.
Le port est-américain de Baltimore est bloqué dans les deux sens après l'effondrement d'un pont autoroutier. Cela ne devrait influencer qu'à la marge les échanges de produits agricoles.
Les Canadiens estiment que le marché européen est loin de se retrouver inondé de viandes canadiennes car très peu d'éleveurs ont décidé de se lancer vers l'export au-delà de l'Atlantique.
Dans les fermes canadiennes, on regarde d'un air circonspect la non-ratification par le Sénat français de l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada la semaine passée, car de ce c (...)
Le projet de ratification du Ceta, traité de libre-échange entre l'UE et le Canada appliqué provisoirement depuis 2017, ne sera pas transmis à l'Assemblée nationale avant les élections européennes, a (...)
15 % du commerce maritime mondial, 20 % du commerce céréalier mondial et un tiers du blé européen exporté dans le monde transitent par la mer Rouge
Les tensions en mer Rouge illustrent l’importance de la dimension maritime de la sécurité alimentaire. Explications avec le chercheur Sébastien Abis.
Après une envolée de leurs bénéfices avec la flambée des cours du blé, du maïs et des oléagineux en 2021 et 2022, les géants du négoce agricole ont atterri en douceur en 2023 et se préparent à un envi (...)
Les cours des céréales sont soutenus par les limitations décidées par Bruxelles sur certaines importations ukrainiennes et les rumeurs d'une possible taxation des importations russes.
Les cours des céréales se sont consolidés des deux côtés de l'Atlantique ces derniers jours, soutenus notamment par les limitations décidées par Bruxelles sur certaines importations ukrainiennes et de (...)
L'exécutif retient son souffle avant l'examen jeudi au Sénat du traité Ceta de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada : une alliance gauche-droite de circonstance, en pleine campagne euro (...)
Sur la campagne de commercialisation 2023/24, 25 % du blé échangé sur le marché mondial est russe.
La domination de la Russie sur le commerce mondial du blé s’amplifie depuis le début de la guerre en Ukraine, entre volumes record, prix bradés, arrangements financiers complexes et partenariats strat (...)
Les analystes se veulent prudents : « l'arrêt de la chute des cours du blé et du maïs ne signifie pas nécessairement que les céréales, et le blé en particulier, aient atteint un plancher ».
Après des mois de reflux, les cours des céréales se sont légèrement redressés ces derniers jours, signe pour les opérateurs d'une certaine « stabilisation », notamment pour le maïs, soutenu par des pr (...)
Les stocks mondiaux devraient être moins élevés que prévu en fin de campagne 2023/24, que ce soit pour le blé, le maïs ou le soja, selon des chiffres publiés vendredi par le ministère américain de l'a (...)
Le prix du blé continue de plonger
Les cours du blé n'en finissent pas de dégringoler : le prix de la céréale du pain est tombé à son plus bas niveau depuis l'été 2020 sur le marché européen, écrasé par une offre abondante de mer Noire (...)
D'après les dernières estimations du Conseil international des céréales, l'Ukraine devrait exporter 14,3 Mt de blé et 23 Mt de maïs sur la campagne 2023/24, contre respectivement 16,9 Mt et 28,5 Mt sur 2022/23.
Au milieu des champs de la région de Kiev, Lioudmyla Martyniouk se tient devant de hauts silos métalliques. Ses céréales devraient être en route pour l'étranger mais « on ne peut pas vendre », expliqu (...)
Des acheteurs chinois viennent d'acheter des orges françaises, australiennes et ukrainiennes.
Les cours des céréales ont enregistré un petit sursaut en début de semaine, aidés par des achats chinois et des prises de bénéfices des spéculateurs, mais le marché reste morose faute de développement (...)
Le maïs a atteint 171 €/t lundi 19 février sur Euronext, un plus bas depuis octobre 2020
Les cours des céréales continuent de refluer sur les marchés mondiaux, une « spirale baissière » entretenue par l'abondance des stocks de blé et maïs à écouler avant la nouvelle récolte (article mis à (...)
Feu vert des Etats de l'UE à l'encadrement des importations d'Ukraine
Les Etats de l'UE ont approuvé mercredi la reconduction de l'exemption des droits de douane pour les importations agricoles ukrainiennes, mais assortie de « mécanismes de sauvegarde » renforcés pour l (...)

Zelensky veut des négociations avec Varsovie

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué jeudi avoir demandé à son gouvernement de « négocier en urgence » une sortie de crise sur les produits agricoles avec le nouveau gouvernement libéra (...)

Les prix des céréales dans une spirale baissière

L'abondance de l'offre en blé et la concurrence entre pays entraînent les prix à la baisse.
La concurrence féroce que se livrent les exportateurs de blé russes, ukrainiens et européens continuent à entraîner les prix de la céréale dans une spirale baissière, les acheteurs se plaçant en retra (...)
Un tollé a éclaté en Ukraine après un nouvel incident à la frontière avec la Pologne où des agriculteurs polonais mécontents bloquant la frontière avec l'Ukraine ont déversé sur la route des céréales (...)
Les importantes réserves de blé en Russie alimentent la tendance baissière des prix.
A cinq mois des récoltes dans l'hémisphère Nord, la compétition acharnée à laquelle se livrent les exportateurs alimente la tendance baissière des prix des céréales, sans favoriser pour autant une re (...)
L'agroalimentaire est le troisième poste d'excédent commercial pour la France.
Avec leurs vins, leurs céréales et leurs fromages, l'agriculture et l'industrie alimentaire françaises restent un fleuron du commerce extérieur du pays mais cette puissance s'érode.
Blocage de l'autoroute A13 par les agriculteurs le 31 janvier 2024.
Partiellement satisfaits des annonces du gouvernement, une grande partie des agriculteurs mobilisés ont suspendu leurs actions, levant progressivement depuis vendredi les différents blocages installés (...)
La perspective de récoltes abondantes pèse sur les cours du blé.
Les cours des céréales sont toujours à la recherche d'un plancher, après être descendus à un nouveau plus bas en début de semaine, mais le marché reste lesté par la perspective d'une récolte abondante (...)
Le ministre de l'économie Bruno Le Maire a promis mercredi que la France s'engagerait dans un « bras de fer » lors des négociations à Bruxelles pour que l'accord UE-Mercosur (Brésil, Argentine, Urugua (...)
Les conditions d'un accord entre le Mercosur et l'UE « ne sont pas réunies », a reconnu mardi la Commission européenne, en pleine crise du monde agricole, particulièrement en France, mais les négociat (...)
Les agriculteurs dénoncent le projet d'accord avec le Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay), mais aussi  l'accord avec le Canada (Ceta), la Nouvelle-Zélande et l'Australie.
Un moratoire sur les accords de libre-échange figure au premier rang des demandes des syndicats agricoles français qui y voient une concurrence déloyale, même si certains pans de l'agriculture peuvent (...)
La gauche, par la voix de François Ruffin, Jean-Luc Mélenchon ou Marie Toussaint, a continué à cibler jeudi les accords de libre-échange économiques pour tenter d'apporter des réponses à la colère des (...)

Les cours des céréales retrouvent de la vigueur

Ces derniers jours, le prix du blé se stabilise, aussi bien côté américain qu'européen
Les cours des céréales se sont raffermis ces derniers jours, après des semaines de déprime, aidés par l'essoufflement de la vague spéculative à la baisse, mais le rebond reste fragile (article mis à j (...)
Les basses eaux dans le canal de Panama et les attaques en mer Rouge provoquent des reroutages de navires, ce qui implique des trajets plus longs et des coûts logistiques accrus.
Le contexte climatique et géopolitique dans plusieurs zones du monde provoque des tensions sur le transport maritime de produits agricoles.
Les cours du maïs ont fléchi suite au rapport Wasde de la fin de semaine dernière.
Les cours du maïs évoluent mercredi près de leur plus bas niveau depuis fin 2020 aux États-Unis comme en Europe après un rapport anticipant des récoltes plus abondantes que prévu dans le monde, entraî (...)
Le prix du soja américain est en baisse du fait de meilleurs conditions météo au Brésil.
Les cours mondiaux du soja ont dévissé en début de semaine, la graine américaine pâtissant de l'amélioration des conditions météorologiques au Brésil où débute la récolte, tandis que le blé européen o (...)
Sur un an, le prix du blé s'est replié de 28 % sur Euronext et de 21 % à la Bourse de Chicago.
L'année 2024 s'est ouverte avec de premières cotations en baisse pour les céréales : plus que jamais, les risques climatiques conjugués à la multiplication de conflits, de l'Ukraine à la mer Rouge, pr (...)
L'orge australienne et l'appétit chinois, une affaire qui marche à nouveau
Allégée des droits de douane prohibitifs imposés pendant trois ans par Pékin, l'orge australienne, une céréale destinée s'exporte de nouveau massivement vers la Chine, historiquement son premier achet (...)
Cet épisode « relance le sujet des risques géopolitiques en mer Noire qui s'était dissipé ces dernières semaines », selon Sébastien Poncelet du cabinet Agritel.
Une frappe ukrainienne sur un navire russe en mer Noire a ravivé les craintes sur les risques liés au transport de céréales dans cette zone, raffermissant temporairement les cours du blé en cette péri (...)
La Russie a raflé les derniers appels d'offres.
Sur les marchés mondiaux, l'année 2023 s'achève sur la consécration du blé russe, disponible en quantité et à moindre prix, laissant l'Europe loin derrière, alors que côté oléagineux, le soja américai (...)
Depuis quelques jours, l'escalade des attaques houthies en mer Rouge provoque une hausse des prix du pétrole.
La multiplication des attaques des rebelles Houthis sur la mer Rouge perturbe les flux commerciaux de pétrole et influence ses cours à la hausse.
D'après le CIC, la Chine importerait 20 Mt de maïs cette campagne. Entre 2014/15 et 2018/19, elle n'a importé en moyenne que 4 Mt.
Ces dernières années, une part croissante des disponibilités chinoises en céréales provient de ses importations, qui s'ajustent de plus en plus à la demande du pays.
Après l'Égypte et la Chine la semaine passée, le Japon, le Bangladesh, la Tunisie ou encore l'Algérie ont lancé des achats en ce début de semaine, ce qui soutient les cours du blé.
Les cours du blé, qui étaient brusquement remontés début décembre à la faveur d'achats chinois, sont restés soutenus ces derniers jours par des commandes et appels d'offres en provenance de plusieurs (...)
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