Échanges mondiaux

L'actualité des exportations et des importations de matières premières agricoles (céréales, oléagineux, protéagineux, huiles) et des intrants (engrais, produits phytosanitaires, semences) à l'échelle mondiale. Ces échanges de produits agricoles sont liés à l’offre des pays exportateurs et à la demande des pays importateurs, mais dépendent aussi de questions logistiques, géopolitiques ou encore monétaires.
Le bon démarrage de la récolte de blé dans le sud des Etats-Unis a pesé sur les cours.
Sous la pression d'un début de moisson prometteur aux Etats-Unis, les cours mondiaux du blé tendre ont poursuivi la chute libre entamée fin mai, mais pourraient assez vite se stabiliser sous l'effet d (...)
La France exporterait 10,2 Mt de blé tendre vers les pays tiers cette campagne, le volume le plus élevé depuis 2020/21.
Dans ses dernières prévisions, FranceAgriMer estime à la hausse le volume de blé tendre français exporté sur la campagne 2023/24. Quels seront les flux d’export dans les semaines et mois qui viennent  (...)

La Turquie stoppe ses importations de blé

La Turquie est le cinquième importateur mondial de blé. L'arrêt temporaire de ses importations se traduit par une baisse de la demande internationale, qui pèse sur les prix.
La Turquie a décidé de suspendre ses importations de blé  jusqu’à la mi-octobre, de façon à assurer à ses producteurs un marché stable. Cela devrait détourner une partie des exports russes vers d’autr (...)
La production ukrainienne de blé en 2024 risque d'être un peu en-deça de celle de 2023, mais devrait dépasser les 20 Mt.
Depuis plus de deux ans, la guerre bouleverse la production et les exportations céréalières de l’Ukraine. Pourtant, et même si la situation reste fragile, le pays semble relever le double défi agricol (...)
Ce mercredi 22 mai, le blé pour l'échéance de septembre sur Euronext était au plus haut depuis juillet 2023.
Manque d'eau en Russie et en Australie, trop de pluies en Europe : les courtiers des marchés agricoles ont les yeux rivés sur les prévisions météorologiques, plutôt défavorables aux récoltes en ce mom (...)
En 2024, le CIC prévoit une récolte européenne de colza à son plus bas niveau en trois ans.
Alors que la production et la consommation mondiales de colza s’annoncent très élevées sur la campagne 2024/25, le Conseil international des céréales s’attend à une hausse de 6 % des échanges, avec un (...)
La météo sera déterminante pour les cours des céréales dans les prochaines semaines.
Les prix du blé sont revenus à leur plus haut niveau depuis l'été 2023, attisés par une météo défavorable aux cultures d'hiver en Russie et aux semis chez d'autres grands producteurs, ainsi que par un (...)
Fin juillet 2023, l'Inde a annoncé qu'elle n'exporterait plus de riz blanc non basmati afin d'assurer sa sécurité alimentaire
« Coup de tonnerre » de l'embargo indien sur les exportations de riz, impact redouté du phénomène climatique El Niño sur les rizières : en dépit de risques forts, l'année 2023 a finalement échappé à u (...)
Le CIC livre ses prévisions pour la campagne de commercialisation de maïs 2024/25.
Le Conseil international des céréales s’attend à une réduction des échanges mondiaux de maïs sur la campagne de commercialisation 2024/25, bridés par de moindres besoins en UE et en Chine, grands impo (...)
Le rapport Wasde du ministère américain de l'Agriculture attendu vendredi donnera un premier aperçu des prévisions de stocks, de production et d'exportations pour la prochaine campagne (2024-25).
Des pics de hausse suivis de replis des cours : le retour de la volatilité sur le marché mondial des céréales est largement lié à des épisodes météorologiques adverses qui sèment le doute sur les rend (...)

La météo, grand arbitre des prix des céréales

Gautier Le Molgat d'Argus Media France souligne « l'écart conséquent » et « peu fréquent » des prix - plus de 20 euros - entre l'ancienne et la nouvelle récolte de blé, signe d'une réelle inquiétude pour les rendements en 2024-25.
Un coup de chaud en Russie, un temps sec au Kansas : les fluctuations des prix du blé et du maïs, qui ont brusquement grimpé avant de se stabiliser, sont essentiellement dictées par les prévisions mét (...)
La production 2024 de blé en Russie et en Ukraine sera déterminante dans l'évolution à venir du marché.
« L’équilibre du marché du blé tendre reste directement lié aux productions et aux exportations russes et ukrainiennes », souligne Argus Media France. Si côté russe la sécheresse a dégradé les potenti (...)
Le prix du haut est monté mardi à son plus haut depuis janvier, avant de baisser de nouveau.
Les cours du blé et du maïs, aiguillonnés par les inquiétudes liées à la vague de froid en Europe, une petite dégradation des cultures aux Etats-Unis et une attaque russe en Ukraine, ont enregistré un (...)
Les attaques houthies, à l'entrée de la mer Rouge, bouleversent le transport maritime de pétrole et de céréales
Les attaques houthies contre les navires marchands en mer Rouge perturbent le commerce maritime mondial, tandis que les marchés des énergies restent fébriles face à la situation tendue au Moyen-Orient (...)
Les prix des céréales européennes soutenus par la fermeté du dollar
Le renforcement du dollar a permis de maintenir les cours des céréales européennes ces derniers jours sans toutefois les galvaniser dans un marché restant dominé par l'abondance de blé et de maïs moin (...)
L'économie russe et son système financier restent relativement vulnérables, explique Julien Vercueil,  "avec une inflation élevée et un rouble faible"
Entre actions de la puissance publique et nouvelles alliances, comment l’économie russe s’est-elle adaptée à la situation de guerre et aux sanctions occidentales ?
Sur 2024/25, le Conseil international des céréales s'attend à une hausse de la production et de la consommation mondiales de blé, et à une baisse des échanges.
Production, consommation et échanges mondiaux de blé : le Conseil international des céréales livre ses prévisions pour la suite de la campagne de commercialisation 2023/24, et pour la campagne 2024/25 (...)
Depuis sa création, l'OMC ne parvient pas à faire avancer le multilatéralisme.
Si les accords bilatéraux se multiplient ces dernières années, souvent au grand dam des agriculteurs, ils témoignent surtout de l’échec du multilatéralisme prôné par l’Organisation mondiale du commerc (...)
L'UE a exporté en 2023 bien davantage de produits agroalimentaires qu'elle n'en a importés, engrangeant un excédent record dépassant 70 milliards d'euros, tandis que ses importations en provenance d'U (...)
La planète maïs se concentre autour de quatre grands pays producteurs et exportateurs : les États-Unis, le Brésil, l'Argentine et l'Ukraine
Dépendance de l’UE au maïs non-OGM ukrainien, poids de la Chine, relation entre le Mexique et les États-Unis, etc. : le chercheur Sébastien Abis explique à quel point la géopolitique influence le marc (...)
Contrairement aux Etats-Unis, les conditions de culture du blé d’hiver sont difficiles en Europe de l’Ouest, où « il pleut trop », et dans le sud de la Russie où « il fait sec », souligne Sébastien Poncelet, du cabinet Agritel-Groupe Argus Media.
Des prévisions de semis de blé et maïs en baisse aux Etats-Unis mais une offre mondiale toujours confortable : les cours des céréales tendaient mercredi à se stabiliser sur les marchés, tandis que les (...)
Incertitude sur le marché des céréales avant les semis de printemps
Le marché des céréales était hésitant mercredi en attendant des prévisions américaines sur les intentions de semis, les cours se tassant en Europe après une brusque remontée.
La destruction du pont Francis-Scott-Key de Baltimore par le porte-conteneur Dali bloque totalement et pour une durée indéterminée l'activité du neuvième port des Etats-unis, par lequel transite notamment du soja et du sucre.
Le port est-américain de Baltimore est bloqué dans les deux sens après l'effondrement d'un pont autoroutier. Cela ne devrait influencer qu'à la marge les échanges de produits agricoles.
Les Canadiens estiment que le marché européen est loin de se retrouver inondé de viandes canadiennes car très peu d'éleveurs ont décidé de se lancer vers l'export au-delà de l'Atlantique.
Dans les fermes canadiennes, on regarde d'un air circonspect la non-ratification par le Sénat français de l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada la semaine passée, car de ce c (...)
Le projet de ratification du Ceta, traité de libre-échange entre l'UE et le Canada appliqué provisoirement depuis 2017, ne sera pas transmis à l'Assemblée nationale avant les élections européennes, a (...)
15 % du commerce maritime mondial, 20 % du commerce céréalier mondial et un tiers du blé européen exporté dans le monde transitent par la mer Rouge
Les tensions en mer Rouge illustrent l’importance de la dimension maritime de la sécurité alimentaire. Explications avec le chercheur Sébastien Abis.
Après une envolée de leurs bénéfices avec la flambée des cours du blé, du maïs et des oléagineux en 2021 et 2022, les géants du négoce agricole ont atterri en douceur en 2023 et se préparent à un envi (...)
Les cours des céréales sont soutenus par les limitations décidées par Bruxelles sur certaines importations ukrainiennes et les rumeurs d'une possible taxation des importations russes.
Les cours des céréales se sont consolidés des deux côtés de l'Atlantique ces derniers jours, soutenus notamment par les limitations décidées par Bruxelles sur certaines importations ukrainiennes et de (...)
L'exécutif retient son souffle avant l'examen jeudi au Sénat du traité Ceta de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada : une alliance gauche-droite de circonstance, en pleine campagne euro (...)
Sur la campagne de commercialisation 2023/24, 25 % du blé échangé sur le marché mondial est russe.
La domination de la Russie sur le commerce mondial du blé s’amplifie depuis le début de la guerre en Ukraine, entre volumes record, prix bradés, arrangements financiers complexes et partenariats strat (...)
Les analystes se veulent prudents : « l'arrêt de la chute des cours du blé et du maïs ne signifie pas nécessairement que les céréales, et le blé en particulier, aient atteint un plancher ».
Après des mois de reflux, les cours des céréales se sont légèrement redressés ces derniers jours, signe pour les opérateurs d'une certaine « stabilisation », notamment pour le maïs, soutenu par des pr (...)
Les stocks mondiaux devraient être moins élevés que prévu en fin de campagne 2023/24, que ce soit pour le blé, le maïs ou le soja, selon des chiffres publiés vendredi par le ministère américain de l'a (...)
Le prix du blé continue de plonger
Les cours du blé n'en finissent pas de dégringoler : le prix de la céréale du pain est tombé à son plus bas niveau depuis l'été 2020 sur le marché européen, écrasé par une offre abondante de mer Noire (...)
D'après les dernières estimations du Conseil international des céréales, l'Ukraine devrait exporter 14,3 Mt de blé et 23 Mt de maïs sur la campagne 2023/24, contre respectivement 16,9 Mt et 28,5 Mt sur 2022/23.
Au milieu des champs de la région de Kiev, Lioudmyla Martyniouk se tient devant de hauts silos métalliques. Ses céréales devraient être en route pour l'étranger mais « on ne peut pas vendre », expliqu (...)
Des acheteurs chinois viennent d'acheter des orges françaises, australiennes et ukrainiennes.
Les cours des céréales ont enregistré un petit sursaut en début de semaine, aidés par des achats chinois et des prises de bénéfices des spéculateurs, mais le marché reste morose faute de développement (...)
Le maïs a atteint 171 €/t lundi 19 février sur Euronext, un plus bas depuis octobre 2020
Les cours des céréales continuent de refluer sur les marchés mondiaux, une « spirale baissière » entretenue par l'abondance des stocks de blé et maïs à écouler avant la nouvelle récolte (article mis à (...)
Feu vert des Etats de l'UE à l'encadrement des importations d'Ukraine
Les Etats de l'UE ont approuvé mercredi la reconduction de l'exemption des droits de douane pour les importations agricoles ukrainiennes, mais assortie de « mécanismes de sauvegarde » renforcés pour l (...)

Zelensky veut des négociations avec Varsovie

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué jeudi avoir demandé à son gouvernement de « négocier en urgence » une sortie de crise sur les produits agricoles avec le nouveau gouvernement libéra (...)

Les prix des céréales dans une spirale baissière

L'abondance de l'offre en blé et la concurrence entre pays entraînent les prix à la baisse.
La concurrence féroce que se livrent les exportateurs de blé russes, ukrainiens et européens continuent à entraîner les prix de la céréale dans une spirale baissière, les acheteurs se plaçant en retra (...)
Un tollé a éclaté en Ukraine après un nouvel incident à la frontière avec la Pologne où des agriculteurs polonais mécontents bloquant la frontière avec l'Ukraine ont déversé sur la route des céréales (...)
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