Communication conçue et proposée par Yara

Apporter azote, phosphore et soufre en un seul passage, c’est possible !

La betterave sucrière a besoin d'azote, phosphore et soufre pour se développer et accumuler du sucre. (©Yara)
La betterave sucrière a besoin d'azote, phosphore et soufre pour se développer et accumuler du sucre. (©Yara)

Observation d'une parcelle de betteravesLa betterave sucrière a besoin d'azote, phosphore et soufre pour se développer et accumuler du sucre. (©Yara)

Le producteur de betteraves sucrières a un double objectif : obtenir des rendements élevés avec des racines riches en sucre hautement extractible. Pour cela, il est nécessaire de soutenir le développement des cultures dès le semis avec un apport d’azote, de phosphore et de soufre à la juste dose.

Azote : ni trop, ni trop peu

L’azote est indispensable à l’élaboration du rendement et du sucre de betteraves. Il active notamment l’émission de nouvelles feuilles, qui permettent de capter le maximum d’énergie solaire ensuite transformée par photosynthèse en sucre.

Les besoins en azote de la betterave sucrière sont importants du stade 8 feuilles au stade formation du pivot / du couvert foliaire et varient entre 40 et 140 unités selon le calcul de dose réalisé avec la méthode du bilan. Attention, un excès d’azote peut être préjudiciable. La richesse en sucre des racines pourrait diminuer, son extractibilité se détériorer avec des conséquences la rémunération du producteur.

Pour optimiser l’efficacité de l’engrais, l’apport doit être réalisé autour du semis. Et comme l’azote doit être disponible aussi rapidement que possible, la forme ammonitrate qui compose les engrais YaraMila® est la plus adaptée à ce positionnement. De plus, la qualité de leur base nitrique limite les risques de perte d’azote par volatilisation ammoniacale.

Le phosphore : éviter sa rétrogradation

Le phosphore est également un élément clé pour la croissance racinaire précoce et le développement végétal. Il joue notamment sur la mise en réserve du sucre. Avec des besoins autour de 70 unités / ha, la betterave sucrière est une culture très exigeante en phosphore : une impasse est à proscrire dans la majorité des situations. 

Le phosphore présente la particularité d’être rapidement rétrogradé dans le sol (pH élevé), devenant en partie indisponible pour la plante. Il est donc nécessaire d’utiliser la forme la plus assimilable de l’élément : le phosphore soluble eau, comme dans les engrais de la gamme YaraMila®. Autre conseil pour éviter ce problème : positionner l’apport au plus près du semis.

Le soufre, un élément secondaire à ne pas négliger

Le soufre est un composé important des protéines végétales. Il permet d’augmenter les rendements en racine (poids) et en sucre (richesse). Un apport de 40 à 50 unités permet de couvrir les besoins de la betterave.

Deux formules d’engrais de la gamme YaraMila® sont particulièrement adaptées à la betterave, selon les besoins de la parcelle : 17.17.00 + 15 S03 et 21.13.00 + 17 S03.

Ces engrais complexes offrent l’opportunité, en un seul apport, d’une répartition régulière et homogène des nutriments au champ. Avec des propriétés physico-chimiques de très haute qualité, ils assurent une alimentation équilibrée des plantes.

YaraMilaAzote, phosphore, soufre : YaraMila est une solution complète pour la fertilisation des betteraves. (©Yara) 

Pour en savoir plus sur la gamme YaraMila®, rendez-vous sur le site Yara.

Yara

Cette communication est gérée par la régie publicitaire du groupe NGPA. La rédaction de Terre-net n’a pas été consultée et n’a pas participé à sa réalisation.

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