Communication conçue et proposée par FAO

5 000 t de maïs séchées à deux : pari gagné pour Nicolas Bats et sa mère

5 000 t de maïs séchées à deux : pari gagné pour Nicolas Bats et sa mère
(©FAO)

À Cauna, dans les Landes (40), le souffle régulier du séchoir résonne désormais sur l’exploitation de Nicolas Bats. Lors de son installation, le jeune agriculteur et sa mère ont investi dans un outil de séchage et de stockage. « J’ai toujours voulu faire du maïs de A à Z, du semis jusqu’à la commercialisation, indique-t-il. Je ne souhaitais plus vendre mes grains juste après la récolte comme on le faisait auparavant, via des coopératives ou des négoces. Maintenant, j’expédie quand je veux, tout au long de l’année. »

Conçue, assemblée et mise en service par l’entreprise FAO, l’installation comprend deux silos de 2 000 t, un boisseau de 48 t et un séchoir d’une capacité de 200 t/jour. Objectif, sécher le plus efficacement possible la récolte, en ayant une marge de manœuvre suffisante, car « dans notre région, quand il pleut, c’est souvent pendant plusieurs jours d’affilée et ça peut vite pénaliser le débit de chantier », précise Nicolas Bats, qui récolte habituellement 3 000 t en propre et 1 000 t en prestations.

Une installation sur mesure, clé en main

Spécialisée dans la conception et la fabrication d’équipements de stockage, FAO a accompagné le projet dès sa conception, courant 2022. « Nous sommes partis d’une feuille blanche, précise Jean Barrouillet, chargé d’affaires agricoles Sud-Ouest pour la société. Nous avons fait des propositions pour orienter Nicolas en fonction de ses attentes, puis notre bureau d’études a conçu des plans 3D directement implantés dans l’environnement de la ferme. Tout a ensuite été supervisé jusqu’à la mise en route en 2023. »

Le chantier a été mené tambour battant : prêt sur le papier au printemps, l’ensemble du dispositif était opérationnel à l’automne. « FAO propose un service de qualité et dispose d’une main-d’œuvre compétente, apprécie l’agriculteur. Après la phase de conception, trois mois ont suffi pour tout monter. Nous avons pu sécher la récolte dès la première année. » Particularité, l’installation intègre un système d’économies d’énergie pour réduire la consommation de gaz.

Automatisation et confort de travail

Au cœur du projet : l’automatisation. Du transfert des grains au chargement, toute la chaîne est pilotée depuis un automate. « Le boisseau est positionné au-dessus du pont bascule. En cinq minutes, on charge un camion et on fait les papiers, détaille le maïsiculteur. Dès le départ, cela faisait partie du cahier des charges, car avec ma mère, nous ne sommes que deux sur l’exploitation. Aujourd’hui, nous travaillons très sereinement. C’est un vrai confort. » Cette nouvelle organisation leur a permis de sécher 5 000 t de maïs lors de la dernière campagne.

Cerise sur le gâteau, la surveillance a aussi été optimisée grâce à l’application connectée Stock Alert. « Le séchage des grains nécessite une astreinte importante, rappelle Jean Barrouillet, de FAO. Un problème peut vite dégrader la qualité des céréales ». Avec l’appli, l’agriculteur reçoit des alertes précises par SMS en temps réel, priorisées selon le degré d’urgence. Jusqu’à cinq numéros peuvent y être associés. Un outil très apprécié : Nicolas le confirme, il dort mieux la nuit.

 

FAO

Cette communication est gérée par la régie publicitaire du groupe NGPA. La rédaction de Terre-net n’a pas été consultée et n’a pas participé à sa réalisation.

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