Communication conçue et proposée par De Sangosse

Baisser les IFT anti-limaces, c’est tout à fait possible !

Baisser les IFT anti-limaces, c’est tout à fait possible !

Les stades de semis et de levée sont déterminants pour la protection des cultures. L’IFT moyen associé à la protection des cultures contre les limaces est estimé à 1,3 en colza, 1 en céréales à pailles, 0,9 en tournesol et 0,5 en maïs. Et comme pour l’ensemble des risques contre les ravageurs, « il est indispensable d’anticiper plutôt que d’intervenir en pompier, pendant le cycle de la culture », indique Rémi Pagis céréalier à St Vincent de Lamontjoie dans le Sud-Ouest.

 

Un IFT réduit d’environ 30 %

Grâce au piégeage, Rémi Pagis estime qu’il a pu diminuer l’usage des anti-limaces à environ 30 % en volume.

« La prise en compte du risque réel, en amont des semis, me permet soit d’intervenir en préventif, soit de m’en passer et donc d’éviter les traitements systématiques », détaille-t-il. Des chiffres corroborés par L’OBSERVATOIRE DE SANGOSSE depuis sa mise en place. « L’IFT moyen pour les parcelles suivies est passé de 1,3 à 0,9, ce qui représente une économie d’anti-limaces de 31 % en volume et une diminution des doses moyennes à l’hectare de 6 % à environ 3,3 kg/ha contre 3,5 kg/ha, pour les parcelles non suivies », explique Pierre Olçomendy Chef Marché Anti-limaces DE SANGOSSE.

Piéger les limaces pour piloter les stratégies de lutte

Installer des pièges dans les parcelles et assurer un suivi quinze à vingt jours avant le semis, permet d’affiner les moyens stratégiques de lutte. On pense notamment aux méthodes alternatives comme le déchaumage ou le roulage. Ces approches agronomiques permettent d’éliminer déjà une partie des populations, et donc potentiellement de limiter les applications d’anti-limaces.

Le kit de piégeage, un OAD simple et efficace pour anticiper

Le kit de piégeage prend en considération différents facteurs agronomiques de la parcelle (type de sols, cultures…) et permet, à l’issue du comptage, d’estimer le seuil de risque sur sa parcelle. En effet, une nature de sol argileux et motteux favorise la présence des limaces. C’est donc un élément d’indication pour positionner les pièges aux bons endroits sur la parcelle. « Le principe est simple, il suffit d’humidifier les pièges, de les disposer sur la parcelle et d’effectuer les comptages une à deux fois par semaine, avant le lever du soleil. Je mets à peu près dix minutes sur chaque piège. » estime l’agriculteur. Il utilise en parallèle une application dans laquelle il enregistre ses différents relevés, ainsi que la pluviométrie.

Le capteur connecté LIMACAPT arrive en renfort dans les parcelles

LIMACAPT est le premier capteur autonome et connecté pour la détection et le comptage des limaces au champ. Il est spécialement développé pour répondre à la surveillance des attaques de mollusques en période de risques pour toutes les cultures.

« L’acquisition des images est réalisée la nuit, pendant la période d’activité des limaces, sur une superficie de 1 m², à l’aide d’une caméra et d’un éclairage infrarouges. » expliquent les experts DE SANGOSSE. « Le nano-ordinateur, intégré au sein de l’appareil, fait fonctionner l’algorithme, qui traite des centaines d’images prises chaque nuit. Lors de la reconnaissance et de l’identification, le système est capable d’identifier les limaces sans les compter plusieurs fois. Lorsque le capteur a fini d’analyser la scène, il transmet le résultat final à l’utilisateur accompagné d’une recommandation de stratégie de lutte. »

Notons en outre que l’ensemble de ce dispositif électronique est autonome en énergie grâce à sa batterie et à son panneau solaire. L’ensemble est monté sur un support fixe qui permet de le déployer facilement dans les parcelles à surveiller.

 

Aujourd’hui, le piégeage au champ a fait ses preuves pour anticiper les stratégies de lutte anti-limaces et réduire jusqu’à 30% vos IFT. Il demande souvent d’être un peu matinal, mais d’ores et déjà, des nouvelles solutions connectées arrivent pour faciliter son déploiement.

De Sangosse

Cette communication est gérée par la régie publicitaire du groupe NGPA. La rédaction de Terre-net n’a pas été consultée et n’a pas participé à sa réalisation.
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