« L'annonce de quelques pluies sur les Grandes Plaines américaines, sur l'Europe de l'Ouest et sur le bassin mer Noire a largement détendu le marché hier », qui craignait que les cultures ne souffrent du temps sec dans ces grandes régions productrices de blé, commente le cabinet Agritel dans une note.
Les opérateurs restent toutefois vigilants, car le début du printemps est une période où la moindre perturbation des cultures peut avoir un fort impact sur les cours, explique en substance Agritel.
Sur Euronext peu avant 12h30 (11h30 Gmt), la tonne de blé gagnait 50 centimes sur l'échéance de mai à 193 euros et restait stable sur celle de septembre à 190,25 euros. Moins de 3.000 lots avaient été échangés, soit un volume d'affaires très faible.
Le maïs gagnait 25 centimes sur l'échéance de juin à 163 euros, ainsi que sur celle d'août à 168,50 euros. Moins de 250 lots avaient changé de main.
En France, sur le marché physique, blé, maïs et orges restaient stables.