Au cours des dernières décennies, « la population de sangliers s'est multipliée dans l'Hexagone », comme le précisait récemment l'AFP : « 36 000 étaient tués au début des années 1970, 750 000 en 2017 ». Cette forte hausse a entraîné une augmentation des dégâts de gibier en agriculture, « en particulier sur le maïs, le blé tendre et les prairies ».
Dégâts de sangliers chez mon collègue Olivier sur Muzillac 56 pic.twitter.com/dXknsPxW3B
— Dominique Luherne (@Dominiqueluhern) August 19, 2019
Dégâts de sangliers de pire en pire #Montigny @Prefet02 @JYBricout @usaa_02 @agpm_mais pic.twitter.com/k2ol2s6Q7O
— Christophe Grison (@agritof60) September 19, 2019
Les #dégâts des #sangliers, on en parle surtout à la #récolte.
— Germain Albespy (@GermainAlbespy) October 4, 2019
Mais lorsque qu'on travaille la terre après la récolte, les centaines de pieds de #maïs abattus par les sangliers doivent être évacués de la parcelle. C'est + de #travail et + de #carburant... #agriculture #aveyron pic.twitter.com/e9wsMkZHlt
Comment protégez-vous vos maïs de ces dégâts ?
Face à cette problématique, Arvalis-Institut du végétal, l'Association générale des producteurs de maïs (AGPM) et la Fédération nationale de la production des semences de maïs et de sorgho (FNPSMS) ont donc décidé de lancer une enquête pour « connaître vos pratiques et mesurer le niveau de satisfaction qu'elles procurent ».
« Les solutions qui paraissent les plus efficaces pourront faire l'objet d'expérimentations par Arvalis », précise l'institut technique.
Les réponses sont attendues avant le 15 novembre 2019. « Nous vous remercions de prendre quelques minutes pour partager votre expérience. Vos réponses, qui resteront anonymes, nous aideront à recenser les pratiques et à évaluer leur intérêt technique. Si vous le souhaitez, vous pourrez recevoir une synthèse des résultats », ajoute Arvalis.