« Le blé trouve du soutien dans l'activité à l'international avec une demande forte, notamment en blés dits de qualité dont les volumes disponibles sont moins importants cette année en Europe, essentiellement en raison des incidents climatiques qui ont affecté la France cette année », selon une note du cabinet Agritel.
Par ailleurs, les chantiers de récolte de maïs se poursuivent en France et la production devrait s'afficher autour des 12 millions de tonnes, en baisse de 7 % sur un an, « ce qui mettra à mal les producteurs dans un contexte de prix bas », souligne Agritel.
Lundi à la Bourse de Chicago, les prix du blé avaient un peu avancé, alors que ceux du maïs ont stagné.
Vers 12H00 (10H00 GMT), le cours du blé perdait 50 centimes sur l'échéance de décembre, à 163,758 euros, et était inchangé sur celle de mars, à 168,75 euros, dans un volume d'échanges modeste de 2 640 lots échangés.
Le maïs, lui, était en hausse de 75 centimes sur l'échéance de novembre, à 159,50 euros et était stable sur celle de janvier à 165,50 euros, dans un volume d'échanges de près de 950 lots échangés.