Cela n’est plus à prouver, la présence des adventices peut entraîner des pertes de rendement conséquentes en grandes cultures, pouvant aller jusqu’à 30 q/ha en blé tendre par exemple, ainsi que d'autres soucis dans la rotation, comme le développement de l'ergot notamment.
Mais entre la simplification du travail du sol, l’évolution du climat, la montée des résistances, la nécessité de réduire les IFT et un contexte réglementaire contraignant… leur maîtrise n’est pas simple.
Si plusieurs leviers, agronomiques, mécaniques... peuvent contribuer à réduire la pression adventices, la recette miracle n’existe pas. C'est plutôt une combinaison de solutions qui est mise en avant. Reste encore à trouver la bonne à adapter à la parcelle, en fonction de son système...
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