À vous la parole !
Vos reportages et témoignages d'agriculteurs préférés de la campagne 2021-22

Des idées de sujets pour la prochaine campagne ? N'hésitez pas à nous en faire dans les commentaires ci-dessous ou bien <a href="https://www.terre-net.fr/nous-contacter/auteur/72" title="Sophie Guyomard" target="_self">directement par mail</a>. (©Pixabay)
Des idées de sujets pour la prochaine campagne ? N'hésitez pas à nous en faire dans les commentaires ci-dessous ou bien directement par mail. (©Pixabay)

On profite de cette fin de campagne pour vous faire découvrir ou redécouvrir vos reportages et témoignages d'agriculteurs préférés sur Terre-net. L'occasion aussi de remercier tous ceux qui nous ont ouvert leurs portes et qui ont bien voulu répondre à nos questions tout au long de l'année. Merci pour le temps accordé et vos partages d'expériences !

Retrouvez ci-dessous une sélection de vos reportages préférés et cliquez sur le lien souhaité pour lire l'intégralité du sujet  : 

Gaec du bas pays (44) - Des couverts pour se passer de glyphosate

Rouleau écraseur + déchaumeur à disques
Le résultat obtenu avec le déchaumeur à disques est très intéressant et permet le semis. Peu de différence est observée avec ou sans rouleau écraseur ; un rouleau hacheur aurait eu davantage d'effet en raison du développement du couvert. (©Terre-net Média)

La recette ne fonctionne pas à chaque fois, mais au Gaec du Bas pays, membre du groupe Dephy du bocage nantais, on s’efforce le plus souvent possible de ne pas employer de glyphosate. Les agriculteurs maîtrisent le salissement des parcelles grâce aux couverts végétaux, aux cultures dérobées, et au travail du sol, si possible superficiel.

Paroles d'agris - Cultiver les jachères en 2022 ? Pour les 3/4 des agriculteurs, c'est non

Jachères
Selon un sondage publié en avril 2022, 73,3 % des agriculteurs n'étaient pas favorables à cette dérogation. (©Terre-net Média)

Avec les incertitudes liées à la guerre en Ukraine et suite à l'autorisation de Bruxelles, la France a engagé la mobilisation des jachères en 2022 afin d'accroître les productions. Retour sur ce qu'en pensent les principaux concernés. 

Dephy Limagne 63 - Cumuler au moins six leviers agronomiques pour réduire son IFT

Rémi Rivaton et Frédéric Moigny
« Le plus fort d’un groupe est moins fort que tout le groupe », tel pourrait être le slogan du réseau Déphy Limagne 63 selon Frédéric Moigny (à droite), responsable d’équipe agronomie à la chambre d’agriculture du Puy-de-Dôme. (©Terre-net Média)

Depuis près de 10 ans, le réseau d’agriculteurs Dephy Limagne 63 travaille pour réduire l’utilisation des produits phytosanitaires, avec succès. Pour cela, les agriculteurs combinent plusieurs leviers. Rémy Rivaton, agriculteur en bordure de Clermont-Ferrand donne quelques clefs de sa réussite technique comme économique.

Bernard Mercier (80) - Le strip-till : un outil de transition vers l'ACS pour les cultures de printemps

Bernard Mercier
Bernard Mercier témoigne en vidéo de son expérience de 4 campagnes avec le strip-till. (©Terre-net Média)

Installé à Candas dans la Somme, Bernard Mercier est en transition vers l'agriculture de conservation (ACS). Il y a une dizaine d'années, l'agriculteur a arrêté complètement le labour et teste le strip-till sur cultures de printemps depuis quatre ans.

Diversification - Comment la Sarthe veut relancer la production de chanvre

Patrice Gandais
Patrice Gandais, l’un des producteurs de chanvre, devant son stock : « Les agriculteurs qui voudront en produire doivent avoir la capacité de le stocker sur leur exploitation pendant un an ». (©Terre-net Média)

La jeune entreprise Qairos veut produire du méthane de synthèse et de l’hydrogène à partir de chanvre local et pour une valorisation locale, grâce à un procédé « unique en Europe ». Une cinquantaine d’hectares ont été implantés l’an dernier. Objectif à moyen terme : 1 000 hectares.

Ceta de Romilly-sur-Seine (10) - « Encore des améliorations à trouver » pour le relay-cropping

Relay-cropping
D'après les essais du Ceta, le sorgho est la Cive la plus simple à implanter parmi les trois testées, il est aussi moins sensible au stress hydrique et moins gourmand en azote. (©Ceta de Romilly-sur-Seine)

On en parlait sur Terre-net l'année dernière : le Ceta de Romilly-sur-Seine (Aube) mène, depuis 2019, des essais sur la technique du relay-cropping, notamment pour la méthanisation. Conseiller du Ceta, Sébastien Vatin nous livre les données de la campagne passée.

GIE Légumes secs de Vendée - « Nous réservons l’irrigation à l’alimentation humaine »

Sébastien Schwab et Simon Berland
Sébastien Schwab, associé du Gaec Ursule à Chantonnay, et Simon Berland, président du GIE et associé de la SCEA Le Palaineau au Langon. (©Terre-net Média)

En quête d’une agriculture plus résiliente, une dizaine de polyculteurs-éleveurs bio vendéens a investi dans une chaîne de triage pour développer la vente directe. Les 14 espèces de graines alimentaires produites grâce à l’irrigation permettent de diversifier leur rotation et d’améliorer leur marge.

Sorgho grain - Une première campagne prometteuse chez Jimmy Pasquier (28)

Sorgho
La culture du sorgho grain bénéficie de plusieurs atouts agronomiques. (©Terre-net Média)

Agriculteur en Eure-et-Loir, Jimmy Pasquier a testé pour la première année la culture de sorgho grain sur son exploitation en 2021, avec l'appui de sa coopérative Natup. Plutôt satisfait de la cinquième céréale mondiale, il renouvelle l'expérience en 2022. 

Vivien François (55) - Casser le cycle des adventices avec la succession de deux cultures de printemps

Rotation
Après la succession orge de printemps - tournesol, Vivien François réfléchit aussi à tester maïs - pois. (©Vivien François)

Dans une démarche de réduction du recours aux produits phytos, Vivien François a cherché une alternative à la « rotation classique lorraine colza - blé tendre d’hiver - orge d’hiver » et créé désormais une rupture pour le cycle des adventices notamment avec la succession de deux cultures de printemps : orge puis tournesol. 

Agro-écologie - Cultures d'industrie sur sols vivants : produire autrement et le valoriser

Hommes dans un champ de pommes de terre
Parmi les agriculteurs engagés depuis le début du projet, Nicolas Vadez, installé dans la Marne. Retrouvez son témoignage. (©Pour une Agriculture du Vivant)

Lancé en 2020, le projet "Cultures d'industrie sur sols vivants" regroupe aujourd'hui 65 agriculteurs et 18 partenaires. Selon l'association Pour une Agriculture du Vivant, l'objectif est de « développer les pratiques agro-écologiques en cultures d'industrie, ici pommes de terre et betteraves sucrières. On cherche comment produire autrement et quand on y arrive, comment ensuite valoriser ces productions au sein d'une filière ? »

Agriculture de précision - La modulation intraparcellaire des intrants se démocratise

Profil de sol
Le rendement d’une culture s’explique à 70 % par la fertilité et le potentiel des sols. (©Terre-net Média)

De plus en plus d’agriculteurs se lancent dans la caractérisation intraparcellaire des sols dans le but de moduler les intrants, en particulier les engrais. Les économies et gains de rendement éventuels, et donc le retour sur investissement, dépendent beaucoup de leur situation initiale. Dans tous les cas, l’outil est un moyen d’améliorer la connaissance des sols et la justification des pratiques.

Diversification - Avec les asperges, père et fille reviennent sur les traces de leur ancêtre

Claire Lequippe et Pascal Perrot devant leur parcelle d'asperges blanches
Claire Lequippe et Pascal Perrot devant leur parcelle d'asperges blanches. (©Terre-net Média)

À Ablis dans les Yvelines, voilà maintenant trois ans que Claire Léquippé et son père Pascal Perrot se sont lancés dans la production d’asperges blanches. La jeune agricultrice nous raconte cette « belle aventure familiale ».

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