
Aujourd'hui, 17 % des répondants n'utilisent plus du tout la charrue dans leurs itinéraires culturaux.
A contrario, 28 % déclarent labourer systématiquement leur parcelles.
Plus de 52 % n'utilisent plus de manière systématique la charrue pour leur préparation de sol.
Non, le labour n'est pas mort et il résiste plutôt bien aux sirènes de la simplification. Il est vrai que la charrue a révolutionné les rendements en son temps et 81 % d'entre vous continuent à l'utiliser sur leur exploitation.